1. Un nouveau collègue


    Datte: 29/04/2024, Catégories: fh, ff, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, Masturbation caresses, intermast, Oral pénétratio, rencontre, occasion, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... Julien étant à un entraînement de sport, je quittai mon bureau plus tôt afin de revoir la Belle de mes nuits, celle qui m’avait fait découvrir l’amour. Fébrile comme une jeune vierge, je me pomponnai, m’habillai en séductrice, me maquillai un peu, mon cœur battait à tout rompre, je transpirais, mes mains étaient moites.
    
    La sonnerie retentit, j’ouvris la porte lentement, en respirant profondément. Je savais bien qu’elle était superbe, irrésistible, mais là…
    
    Je dus avoir l’air d’un enfant qui découvre une mine de bonbons, d’un cosmonaute qui se trouve nez à nez avec une soucoupe volante. Elle avait changé de coupe de cheveux, pour unpixie qui mettait en avant son dynamisme de sportive accomplie, rehaussant les traits de son ravissant visage. Une fine tunique de soie ajustée et portée à même la peau ceignait son corps parfait, sa taille sensuellement marquée par une ceinture, les pointes de ses seins semblant prêtes à déchirer l’étoffe. Une minijupe de cuir très ajustée dévoilait ses cuisses nues et musclées, le galbe de ses jambes était magnifié par une paire de sandales dorées à talon aux fines attaches. Je n’ose décrire l’effet que provoquèrent chez moi ses fesses moulées dans le cuir fauve, ses fesses uniques, véritable appel au plaisir, ses rondeurs parfaites, ses caches trésor, ses gardiennes de la vertu dont j’avais si souvent trompé la vigilance naturelle.
    
    La porte à peine fermée, ce sont nos bras qui s’ouvrirent, nous précipitant l’une contre l’autre, le ...
    ... visage inondé de larmes, incapables de dire un mot. Je serrai convulsivement ma belle voisine qui se lova contre moi, ses mains plaquées sur mes fesses. Nous avons arrêté les horloges un moment, reprenant nos sens, attendant d’être en mesure de parler.
    
    — Est-ce que j’ose t’embrasser, mon amour ?
    — Oh oui, Magali, j’en rêve depuis des jours ! Embrasse-moi autant que tu veux !
    
    Nous eûmes de la peine à nous détacher l’une de l’autre, mais nous sentions bien que rien n’était plus pareil, que nos élans demandaient à être modérés au vu des circonstances. Nous nous assîmes sagement dans le canapé, et je servis un apéritif sans alcool, grossesse de ma chérie oblige, mais je ne pus lâcher sa main, je voulais sentir ses attentes, ses peurs, ses désirs.
    
    — Tu sais, Mag, il ne faut pas en vouloir à Julien, il est un peu dépassé. Oui, c’est vrai, moi aussi je veux un enfant, même si je ne t’ai rien dit parce que je n’en ai pas eu le courage, vu ce que cela implique pour nous deux. Julien il est prof de maths, il est cartésien, c’est ou bien ou bien. Pour lui, c’est clair, un enfant signifie l’arrêt des batifolages, avec toi, mais aussi avec moi. Sacrifice total, peu négociable, pourtant je passe des heures à lui expliquer le corps des femmes et le miracle de la procréation, mais il est un peu buté. Un exemple, puisque nous allons nous marier, je lui ai demandé si notre nuit de noces se passerait à regarder la télé. Il s’est énervé, disant qu’il n’y a pas que le cul dans la vie.
    — Il ...
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