Un nouveau collègue - Histoires de Sexe

Un nouveau collègue

... n’a pas toujours pensé comme ça, surtout en ce qui concerne le mien…
— S’il te plaît, Magali, je suis sérieuse…
— Excuse-moi… Écoute Séverine, comme je vous l’ai dit, même si je suis follement amoureuse de toi, je ne veux pas être dans votre couple le fantôme qui plane au-dessus de votre bonheur et le perturbe. J’ai déjà suffisamment chamboulé votre vie, le moment est venu de me montrer raisonnable et de laisser le temps faire son travail. Tu es suffisamment persuasive et intelligente pour ramener Julien à davantage d’ouverture d’esprit, c’est désormais sur cet objectif que tu dois te concentrer.
— Je sais Mag, je sais… Mais j’ai envie de faire l’amour avec toi, là, maintenant, regarde, je ne peux pas te mentir…

Cette diablesse prit ma main et la glissa sous sa courte jupe, m’obligeant à constater l’état humide avancé de ses dessous, que par osmose les miens imitèrent instantanément, réveillant ma libido en flèche.

— Séverine, mais qu’est-ce que tu fais ? Tu ne peux pas dire une chose et te conduire de manière complètement opposée sinon…
— … Je ne veux pas un cours de morale, ma chérie, je veux jouir ! Jouir sous ta langue, tes doigts, prends-moi, baise-moi, ne me laisse pas comme ça, mon amour, viens !

Avant même que je tente encore une fois de lui rappeler ses devoirs, ma délicieuse perverse a quasiment arraché sa culotte, s’est renversée sur mon propre canapé et a replié ses jambes sur sa poitrine, exhibant son mont de Vénus d’où perle déjà le miel du désir à ...

... portée de ma bouche. C’en est trop, je me rue sur son entrecuisse et y plonge. En peu de temps, mon visage est barbouillé de mouille. Incapable de choisir entre corolle et bourgeon, ma langue mène une ronde endiablée de ses divines fesses à son odorante moule. Je sens les cuisses de ma chérie se resserrer sur moi, son bassin s’agite, ses soupirs se muent en halètements obscènes doublés de propos indécents et ses flux intimes débordent, mais je n’en laisse pas perdre la moindre goutte, mes doigts au plus profond de sa crevasse récoltant le précieux élixir.

Bientôt, ma langue frénétique invite mes deux doigts joints à la seconder dans la montée du plaisir défendu, et c’est avec une infinie lenteur que je sodomise ma jeune maîtresse, la laissant me guider vers son plaisir qui s’approche.

— Mmmm… Ohhh… oui, Mag, oui, dans mon cul… doucement… oh, cochonne ! Mais tu m’as mis deux doigts… Ohhh, c’est fort… tu m’écartèles, c’est incroyable… Je viens, chérie… oui… plus profond… attends… bouge un peu, ahhh… reviens… plus vite, chérie… encore… ! Lèche-moi la chatte… Attention, mon amour, je vais… Ohhh… je vais…

Après quelques très doux mouvements de mes doigts entre ses fesses, ma langue harcèle en continu son bourgeon en érection, provoquant chez mon insatiable initiatrice de profonds grondements. Au moment où mes doigts s’introduisent jusqu’au bout dans le soyeux conduit, le plaisir déferle chez Séverine, intense, presque violent pour moi tant les jambes musclées de ma belle ...