Un nouveau collègue - Histoires de Sexe

Un nouveau collègue

... sensation de chaleur humide sur mon pied me confirma que j’étais bien la salope que je voulais être. Bastien réussit à éponger le flux de son plaisir, et l’air hagard me rendit le shorty préposé à recueillir ses jouissances.

— Eh bien, maître, vous m’avez copieusement honorée, lui dis-je en contemplant le contenu du cache-vertu. Je suis fière de vous faire autant d’effet !

Je rangeai le témoin textile de mes perversions, nous terminâmes le repas et retournâmes à l’hôtel.

La nuit fut des plus torrides, je ne peux pas dire combien d’orgasmes je connus, mais l’état des draps au petit matin montrait de toute évidence que ceux qui y avaient dormi savaient profiter des joies de l’existence.

La dernière demi-journée d’audit fut un peu plus calme, notre client ayant dû s’absenter nous confia le bureau qu’il occupait avec sa secrétaire, elle aussi absente. Je me permis quelques privautés avec Bastien, lui demandant par exemple de me peloter les fesses pendant que je lisais par-dessus son épaule. Il en profita pour glisser sa main sous ma robe, mais l’enlevain extremis quand une personne frappa à la porte et entra, chargée de nous apporter du café.

Ne voulant pas risquer de scandale, nous restâmes sagement assis à nos postes de travail.

— J’ai envie de toi, mon chéri, je suis dans le même état qu’hier soir. Je vais aux toilettes faire baisser la pression, avant de te violer dans le bureau.

Arrivée aux toilettes, je me caressai furieusement, sans prendre le temps de ...

... me déshabiller, et je jouis abondamment. J’enlevai mon sous-vêtement, et après avoir uriné en laissait quelques gouttes imprégner le tissu, le rendant impossible à être porté.

— Voilà, je me sens mieux. Mais toi, tu n’as pas envie ? Montre-moi !
— Magali, s’il te plaît, il reste à peine deux heures, sois raisonnable.
— J’ai une idée ! Va aux toilettes et masturbe-toi dans mon string, comme hier au restaurant, et reviens me montrer si tu as joui pour moi !

Bastien maugréa, mais, finalement, se prit au jeu et s’exécuta, me montrant au retour son offrande répandue sur mes fines soies mauves.

Nous prîmes congé de notre client, de manière brève, et le train nous ramena en fin d’après-midi à l’entreprise. Au cours du voyage, je confiai à Bastien que j’avais eu beaucoup de plaisir à glisser mon string dégoulinant de mouille, de sperme et de pisse dans la poche du manteau de notre emmerdeur, accroché derrière son bureau.

— Mais tu es folle, Magali, tu veux vraiment nous attirer des emmerdements ?
— Tu crois qu’il oserait porter plainte alors qu’il a passé deux jours à me lorgner le cul ? J’espère seulement que c’est sa femme qui le trouvera et qu’il recevra la gifle de sa vie, ce con. Bon, il est trop tard pour mettre le rapport au propre aujourd’hui, on fera ça lundi. Tu fais quoi ce week-end, mon trésor ?
— Demain, rien de spécial, mais dimanche j’emmène mes enfants faire du vélo.
— Donc, ce soir, tu viens chez moi ?
— Euh… je ne sais pas… c’est un peu vite non ? ...