1. Un nouveau collègue


    Datte: 29/04/2024, Catégories: fh, ff, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, Masturbation caresses, intermast, Oral pénétratio, rencontre, occasion, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... femme et je ne crois pas que ce soit mon fantasme le plus fort. Il y a d’autres manières d’atteindre le plaisir.
    — Oh, Monsieur est un peu timide, mais personne n’est jamais obligé à rien dans ce domaine, et tu me fais très bien l’amour. D’ailleurs, rien que d’y penser je coule déjà, et mon jus se mélange au tien dans ma culotte, c’est chaud, j’adore, mais j’ai peur de tacher la chaise tellement tu m’as remplie. Attends-moi deux minutes, je vais vite aller l’enlever aux toilettes.
    
    Ma vulve était engluée et dégageait une odeur puissante, je dus me rincer et m’essuyer une fois le sous-vêtement ôté et enfermé dans un sachet en plastique. L’entrejambe rafraîchi, je retournai à table, décidée à me montrer des plus cochonnes. Ma Séverine me manquait, elle qui savait jouer de mon corps si habilement, Bastien allait devoir me satisfaire, car je voulais rattraper au plus vite mes années de disette sexuelle et mes frustrations dues à la grossesse de ma chérie. En passant, je piquai discrètement une serviette sur une table voisine.
    
    — Voilà, je me sens mieux, mais comme je ne me suis pas caressée aux toilettes je mouille encore, alors soyons respectueux du bien d’autrui.
    
    Je disposai soigneusement la serviette sur la chaise et m’assit tranquillement, Bastien me regardait en souriant, sans que je sache vraiment ce qu’il pensait de son amante et collègue.
    
    Le repas se poursuivit, et je répondis à toutes les questions, sans pudeur aucune, parvenant à deux reprises à faire monter ...
    ... le rouge aux joues de mon vis-à-vis.
    
    Au dessert, je me déchaussai et tendis une jambe, mon pied caressant celle de Bastien, remontant toujours plus haut. Affolé, il serra ses jambes.
    
    — Magali, mais tu es insatiable, attends que nous soyons à l’hôtel.
    — Je veux sentir ta queue sous mes orteils, sors-la ! Je te rappelle que tu es membre du barreau, alors ce pléonasme me trouble.
    
    Gêné, rouge de honte, Bastien déboutonna discrètement son pantalon et laissa sa verge en érection se soumettre à mes fantasmes. Le nylon de mon bas frottant sur sa virilité l’excita, je le sentis durcir, la parole coupée, le corps tendu.
    
    — On dirait que je te fais du bien, c’est meilleur que quand je t’ai sucé ? Tu veux jouir sur mon pied ? Attends, alors, restons discrets.
    
    Fouillant dans mon sac j’en sortis ma culotte déjà maculée de divers fluides corporels et la tendis discrètement à Bastien.
    
    — Tu peux t’épancher dans ma soie, mon chéri, elle en a vu d’autres.
    
    Passant ma langue sur mes lèvres je me mis à branler mon collègue de mes orteils, alternant la lenteur et la force, mais j’en avais presque des crampes dans la jambe.
    
    — Viens maintenant, lâche-toi dans mes dessous, jouis, je veux sentir ton foutre chaud !
    
    Il n’en fallut pas plus. Bastien enveloppa mes orteils et sa queue dans l’étoffe souillée, et quelques allers-retours de mon gros orteil sur son gland gorgé eurent raison de sa résistance. Mon amant ferma les yeux, je vis sa main libre se crisper sur la nappe et une ...