1. Un nouveau collègue


    Datte: 29/04/2024, Catégories: fh, ff, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, Masturbation caresses, intermast, Oral pénétratio, rencontre, occasion, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... expressif…
    
    Je le fis rentrer et refermai prestement la porte contre laquelle je le crucifiai, bras écartés, me ruant sur sa bouche. Je mordis ses lèvres, suçai sa langue comme je l’aurais fait de sa virilité, et lâchant une de ses mains, je plaquai celle-ci sur son entrejambe.
    
    — C’est pour moi que vous bandez aussi dur, Maître Bastien ? Je crois bien que vous avez envie de me baiser, cher collègue, ce qui prouve qu’il y a une justice, car moi aussi j’en meurs d’envie !
    
    En proie à une excitation incontrôlable, je m’agenouillai près du lit sur lequel j’appuyai mon torse, je retroussai ma robe au maximum et j’écartai ma culotte, dévoilant mes chairs humides attendant le glaive qui allait les pourfendre.
    
    — Maintenant Bastien, viens ! Baise-moi fort, jouis en moi, vite !
    
    Mon amant ne se fit pas prier et je feulai de plaisir quand il me pénétra d’un seul coup, puis me laboura le bas-ventre de coups de boutoirs puissants, utilisant toute la longueur de sa tige pour coulisser entre mes délicates muqueuses intimes. Une main se glissa par-devant ma culotte et s’occupa intensément de mon bourgeon décapuchonné, je n’allais pas résister longtemps à cet assaut de soudard !
    
    Mes mains se crispèrent sur le couvre-lit, je creusai les reins et tendis ma croupe au maximum pour sentir au mieux la verge rigide prête à gicler. La pression d’un doigt sur mon clitoris déclencha l’orgasme que j’attendais. Ma tête enfouie dans la literie, je libérai ma tension sexuelle par un long ...
    ... hurlement de gorge et sentis Bastien se vider en moi dans un cri étouffé. Les yeux clos, je voyais le gland congestionné expulser en soubresauts la semence de mon amant au plus profond de moi et cela prolongea mon orgasme, je serrai les cuisses pour profiter encore de la rigidité du pieu fiché en moi.
    
    Bastien suggéra une douche rapide, mais, vicieuse au possible, je lui murmurai à l’oreille que je souhaitais garder en moi les traces de sa sauvagerie, me sentir gluante de lui un moment. Je rabattis ma robe et remis ma culotte en place, me délectant des épaisses coulures qui commençaient à en maculer le fond.
    
    — Jamais je ne t’aurais cru aussi… aussi…
    — Aussi salope, Bastien, ne sois pas timide. Oui, parfois je le suis, j’aime le sexe et avec toi c’est divin, alors je ne vois pas pourquoi je jouerais les prudes employées ! Viens, mon chéri, allons dîner.
    
    Bastien se montra adorable, me fit mille compliments, et me demanda si ma compagne n’allait pas se montrer jalouse à notre retour et me créer des ennuis. Je dus lui révéler ma situation exacte, sans rien oublier, et je vis ses yeux s’agrandir de stupeur à mesure que j’avançai dans le récit de mes turpitudes.
    
    — Mais… tu veux dire que… que Séverine regardait pendant que Julien… te… prenait par-derrière ?
    — C’est tout à fait ça, et j’ai aimé me faire sodomiser ainsi sous les yeux de ma maîtresse, c’est excitant. Tu aimerais me sodomiser aussi ? Tu voudrais que je t’offre mon cul ?
    — Magali, je n’ai jamais sodomisé une ...
«12...151617...»