1. Un nouveau collègue


    Datte: 29/04/2024, Catégories: fh, ff, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, Masturbation caresses, intermast, Oral pénétratio, rencontre, occasion, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... mon désir. Je déshabillai au plus vite mon nouvel amant et découvris son corps sec et nerveux, sculpté sans doute par la pratique des sports qu’il affectionnait, et embouchai sa hallebarde fièrement dressée prête à l’assaut.
    
    — Oh, Magali, quelle impatience ! Doucement, ma ravissante collègue, je n’ai pas fait l’amour depuis plusieurs mois et tes caresses sont irrésistibles…
    — Alors, ne résiste pas, laisse-toi aller, viens dans ma bouche, maître Bastien, ce sera moi la coupable, mais j’assume !
    
    Je m’appliquai à lui prodiguer tout ce que j’avais récemment expérimenté, jouant de ma langue, de mes lèvres, de mes doigts, voulant sentir son plaisir jaillir. Je sentis rapidement ses muscles se contracter, son bassin se cambra et dans un long soupir Bastien jouit dans ma bouche, sa verge fut secouée de convulsions et plusieurs saccades de sperme, épais et chaud, fusèrent sur ma langue. Libérant la colonne de chair qui venait de déverser sa liqueur, je laissai volontairement quelques filets de semence s’échapper afin qu’ils coulent jusque sur mes seins aux pointes érigées, sur lesquelles j’étalais le nectar avant d’avaler le plaisir de mon amant, mes yeux lubriques plantés dans son regard étonné.
    
    Épuisés, nous somnolâmes un moment, j’étais lovée contre lui, me demandant si une nouvelle vie commençait pour moi. C’est Bastien qui me sortit de ma torpeur par ses baisers brûlants et qui me fit divinement l’amour, m’accompagnant dans un orgasme délirant. Plus tard dans la nuit, ...
    ... mon amant me prit à nouveau, me faisant gravir encore une fois les sommets du plaisir, mais cette fois la position me permit de hurler ma formidable jouissance dans l’oreiller en évitant d’ameuter tout l’hôtel.
    
    La journée de travail du lendemain fut un peu laborieuse. Entre l’accueil désagréable de notre client et le manque de sommeil, nous fûmes à plusieurs reprises proches du dérapage verbal, mais le flegme de Bastien nous évita de céder à nos pulsions agressives. De même, mon amant d’une nuit n’eut aucun geste ni propos qui puisse suggérer autre chose qu’une relation professionnelle entre nous, ce que de mon côté j’eus bien de la peine à respecter. J’avais envie de l’embrasser, qu’il me serre dans ses bras, et j’attendais avec impatience notre prochaine nuit. J’étais bien consciente de tromper un peu ma Séverine adorée, mais si elle pouvait se consoler de notre abstinence dans les bras de son Julien, moi je n’avais jusqu’à présent personne à qui offrir mon trop-plein d’amour.
    
    Retour à l’hôtel, douche, nous avions à nouveau rendez-vous dans le hall de l’hôtel. J’étais presque prête lorsque quelques coups discrets furent frappés à ma porte. Pensant au service d’étage, j’ouvris et découvris Bastien, souriant, à qui je dis que je n’étais pas tout à fait prête.
    
    — Tu m’en vois ravi, ma belle collègue, car moi je suis prêt, prêt à t’aimer, tout de suite, toute la journée j’ai eu sur la langue ton parfum secret, la douceur de ta peau, je n’osais pas croiser ton regard si ...
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