1. Un nouveau collègue


    Datte: 29/04/2024, Catégories: fh, ff, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, Masturbation caresses, intermast, Oral pénétratio, rencontre, occasion, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... dans ses bras, caressa ma chevelure, me murmura des mots qui firent de moi une belle femme, désirable et désirée. Il parcourut mon cou, ma nuque du bout de ses doigts et déclencha des frissons dans tout mon corps. Ses lèvres, elles aussi, explorèrent ma peau avant de se joindre aux miennes, ma langue les força pour un baiser torride. Je sentais le long de mes cuisses la chaleur de ma liqueur intime qu’aucun tissu ne retenait, j’avais envie qu’il me fasse jouir.
    
    — J’ai encore en tête votre envoûtant parfum, Magali, m’autorisez-vous à en visiter la source ?
    — Oh oui, vas-y, j’ai envie de jouir !
    
    J’étais appuyée contre le mur. Bastien s’agenouilla à mes pieds, caressant mes jambes gainées de nylon, mes cuisses, il souleva délicatement ma robe dont il avait dénoué la ceinture et sa tête disparut sous le tissu. Ses mains se plaquèrent sur mes fesses et son visage sur mon mont de Vénus. Sa langue agile recueillit sur l’intérieur de mes cuisses l’abondant nectar que ma petite crevasse distillait avant de remonter vers ma vulve épilée, d’en écarter les nymphes pour s’approcher au plus près de la source et s’y délecter du bouquet odorant de mes phéromones. Sa langue furetait en moi, lapait, s’attardait. Je caressai sa tête à travers le tissu de ma robe, mon excitation grandissait et je coulais si abondamment que mes bas étaient humides.
    
    Sentant mon souffle s’accélérer, ma voix devenir rauque, Bastien saisit mon clitoris entre ses lèvres et le mit au supplice pendant qu’un ...
    ... doigt inquisiteur forçait l’entrée de mon vagin qui l’engloutit entièrement.
    
    Sentant monter en moi un tsunami de plaisir, je collai mon bassin à la bouche de mon amant et dus me retenir de hurler quand l’orgasme déferla, provoquant une impressionnante éjaculation sur le visage de Bastien. Je tremblai de tous mes membres, agitée de soubresauts incoercibles, puis, vidée, me laissai glisser à terre, le souffle court et le visage en feu.
    
    J’étais là, assise, robe relevée, la chatte à l’air et les cuisses écartées, une tache de mes sécrétions maculant le tapis quand Bastien me caressa tendrement le visage.
    
    — C’est un parfum puissant que le tien, Magali, et que tu distribues généreusement !
    
    Ses cheveux étaient poisseux, son visage brillait encore de mon éjaculat, même sa chemise portait les marques de mon parfum intime.
    
    — Je suis désolée de m’être ainsi laissé aller, d’avoir souillé ton visage, mais tu as été si sensuel, si précis que j’ai littéralement explosé sous tes caresses.
    — J’en suis enchanté, Magali, et crois-moi, tu n’as pas à être désolée, tu es d’une remarquable féminité, y compris dans le plaisir, et j’adore cela !
    
    Il m’aida à me relever, et c’est avec une infinie douceur qu’il m’effeuilla, couvrant ma peau progressivement dénudée de baisers brûlants. Quand tous mes vêtements, à l’exception de mes bas, firent cercle à mes pieds, Bastien m’allongea sur le lit et entreprit des caresses d’une folle sensualité qui eurent pour effet une rapide remontée de ...
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