Un nouveau collègue
Datte: 29/04/2024,
Catégories:
fh,
ff,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
pénétratio,
rencontre,
occasion,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... douce.
— Bastien, puisque désormais vous en savez beaucoup sur ma vie privée, êtes-vous choqué que je sois éprise d’une jeune femme de seize ans ma cadette ?
— Choqué en aucun cas, je ne vois pas pourquoi je le serais, mais plutôt surpris, étonné.
— Parce que je n’ai pas l’air d’une vieille gouine, d’une cougar brouteuse ? Vous pensez qu’une chevelure rasée, des tatouages, une chemise à carreaux et un blouson de cuir me correspondraient mieux ?
— Diable, Magali, vous y allez fort ! Pourquoi dès que l’on aborde ce sujet, de près ou de loin, vous devenez aussi agressive, vulgaire et prête à mordre ? Vous avez honte de votre relation ? J’essaie d’être sincère, mais vous ne m’aidez pas beaucoup…
— Excusez-moi, Bastien, c’est vrai que je ne suis pas du tout à l’aise avec cet amour, que j’ai voulu cacher et qui apparaît au grand jour indépendamment de ma volonté, et cela me trouble énormément.
— Je peux le comprendre, mais admettez que je n’y suis pour rien. Vos amours me réjouissent si vous en êtes heureuse, et soyez certaine que vous restez à mes yeux une femme très séduisante, et que de partager ce dîner avec vous est un plaisir total.
La conversation se poursuivit, plus sobre, mon invité déployant tout son charme pour me mettre à l’aise et il y parvint, je craquai, m’étonnant de ma propre audace, moi la prude quadra un peu coincée. Par chance, il y avait à côté de l’hôtel une boutique vendant des objets fantaisie, et j’y avais acheté avec préméditation une petite ...
... boîte noire, plate, assez quelconque.
Me levant pour aller aux toilettes, j’en revins quelques minutes plus tard.
— Bastien, vous avez appris par des ragots de bas étage des choses qui ne reflètent pas toute ma vie privée, il en est une dont je souhaiterais vous dévoiler l’existence.
Je posai devant lui cette petite boîte, sans le quitter des yeux. Un peu surpris, il ne bougea pas, puis ouvrit la boîte. À l’intérieur, ma culotte de soie bleu marine habilement pliée pour en montrer la tache bien visible, et un petit billet :
Lorsqu’il releva la tête je m’attendais à tout, à ce qu’il quitte la table, écarlate de honte, à ce qu’il me rende pudiquement mon bien sans aucun commentaire, à ce qu’il bafouille, mais pas à ce qu’il saisisse avec délicatesse mon cache-vertu souillé, le hume les yeux fermés, le remette soigneusement dans sa boîte puis, se levant pour me gratifier d’un baisemain de cinéma, me déclare les yeux dans les yeux :
— Il s’agit-là d’un parfum fort envoûtant, capiteux à souhait, Magali, qu’un épicurien comme moi apprécierait dans son contexte originel, à sa source même, afin d’en savourer les fragrances jusqu’à l’ivresse.
C’est moi qui rougis de la situation, d’avoir osé pareille provocation avec un collègue, mais je ne pouvais évidemment plus reculer.
— J’aurais grand plaisir à exaucer votre souhait et satisfaire votre épicurisme, Bastien, prenons le dessert et rentrons, voulez-vous ?
La porte de ma chambre refermée, mon gentleman me prit ...