1. Un nouveau collègue


    Datte: 29/04/2024, Catégories: fh, ff, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, Masturbation caresses, intermast, Oral pénétratio, rencontre, occasion, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... donc d’une simple robe chemise beige, un peu ajustée, avec comme seul accessoire une large ceinture de cuir.
    
    Bastien m’attendait, assis dans un fauteuil du hall, il avait abandonné le costume cravate pour une tenue plus décontractée qui lui allait très bien.
    
    — Vous êtes ravissante, ma chère collègue ! J’ai regardé le menu du restaurant de l’hôtel, comme c’est un peu tristounet, je vous propose d’aller dîner en ville où j’ai réservé une table. C’est un peu hors budget par rapport à ce que nous verse la boîte, mais c’est moi qui régale.
    — Oh, vous me gênez, Bastien, je vous ai agressé et vous m’invitez, je pense que ce serait plutôt à moi de le faire pour excuser ma conduite inqualifiable.
    — Nous parlerons argent plus tard. Venez dîner, Magali, je vous sens tendue, en proie à des pensées qui vous empêchent de savourer le moment présent, relax, collègue, cool, comme diraient nos enfants. !
    
    Le dîner fut pour moi un moment exquis, la conversation de Bastien était enjouée, je ris beaucoup de son humour assez fin, lui en racontai un peu plus sur ma vie privée. Je me sentais en confiance avec cet homme-là comme rarement je l’avais ressenti, mes expériences se résumant à bien peu de choses. Il émanait de lui une sorte de force tranquille, de sagesse, mais aussi de détermination. J’aurais aimé qu’il me courtise (draguer me semblait vulgaire venant d’un homme aussi distingué), mais les révélations de mes vipères de collègues devaient lui faire croire que j’étais une ...
    ... lesbienne pure et dure, trouvant répugnante l’idée d’être prise par un homme. J’essayais de ne pas le dévorer des yeux ni de lui montrer mon émoi, de rester « pro », seul le fond de ma culotte aurait pu me trahir s’il y avait aventuré sa main, ce qu’il n’avait aucune raison de faire. Devais-je lui en fournir une ?
    
    Il insista pour m’inviter, je me laissai faire, mais lui fis promettre que le lendemain soir ce serait lui mon invité. Nous retournâmes à l’hôtel, et chacun gagna sa chambre après les politesses d’usage. Je dormis mal et dus me masturber pour faire retomber mon excitation, ne sachant pas si les images qui accompagnèrent ma jouissance étaient celles de Séverine ou de Bastien.
    
    La journée de travail du lendemain fut tout aussi pénible que la précédente, le client se montrant pointilleux, d’une mauvaise foi crasse, contestant sans cesse nos conclusions provisoires, au point que Bastien dut le recadrer poliment, mais fermement, lui intimant de nous laisser travailler et d’attendre le rapport final dont l’approbation ne relevait de toute façon pas de sa compétence. Vexé, il partit en claquant la porte, grommelant des mots peu élogieux à notre égard.
    
    Le soir venu, j’invitai donc Bastien à mon tour, résolue à lui donner de moi une autre image que celle colportée par les punaises de corridor colonisant les bureaux de l’entreprise. Un excellent Margaux se fit mon complice de désinhibition, mon philtre d’audace, que soit remerciée la viticulture pour ses vertus d’œnothérapie ...
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