Résumé des ébats
Datte: 25/04/2024,
Catégories:
fff,
fplusag,
jeunes,
vacances,
plage,
campagne,
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
Masturbation
uro,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... plus intime. Chantal, cédant aux aimables suggestions de la maîtresse des lieux, admit le plaisir de s’offrir à ses regards en culotte. Mieux, elle accepta le cœur battant son invitation à rester quelques jours. Les scrupules d’une garde-robe insuffisante furent écartés d’un revers de main et, une fois la lecture achevée, les ultimes hésitations furent balayées par la promesse d’apprendre la suite de la vie de Colette.
Celle de Chantal bascula en même temps qu’elle consignait les souvenirs et les confidences qu’elle recueillait. Certes, le processus fut lent et jalonné d’étapes. La première advint très vite, presque comme un gage sous la forme d’un prêté pour un rendu. Puisque qu’elle l’avait décrite en détail dans une situation scabreuse de vessie soulagée au vu d’autres femmes, Colette lui réclama tout bonnement en contrepartie de s’exposer pendant sa miction. Que ce fut par culpabilité honteuse ou tentation douteuse, Chantal accepta malgré la timidité qui la bloquait.
Passé le cap de la pudibonderie, l’apprentissage devint plus facile auprès d’une maîtresse qui dispensait largement son savoir. Chantal découvrit les charmes de l’exhibition, les délices du voyeurisme, la liberté d’une vie sans culotte, le plaisir du cul nu sous la robe, les caresses d’une main féminine, comme la douceur de la peau d’une autre, l’ivresse de se donner à elle et le bonheur de la faire jouir autant que celui d’en partager l’orgasme. Elle connut aussi la subtile excitation de l’extase ...
... cachée ainsi que l’éblouissement des sens à sa délivrance.
Dans le même temps, Colette lui faisait les honneurs de sa vaste maison et de son paradis campagnard dont elle ne lui dissimulait pas plus les paysages secrets qu’elle ne l’avait fait des détails intimes de son corps. Elle la présenta en amie à ses relations de voisinage qui, en des lieux où tout se sait et se commente, considéraient avec estime, respect et discrétion une « étrangère » parfaitement assimilée. Chantal fut donc notamment mise en présence d’un donjon hérité du passé professionnel de son hôtesse, d’endroits pittoresques propres à la détente, d’un patron de resto tant serviable que volubile, et d’une accorte jeune fille du pays.
La rencontre avec celle-ci, Anaïs, fille d’un artisan dévoué, et révérant Colette, lui donna l’occasion d’expérimenter les sensations équivoques d’une humiliation impromptue. Être surprise à poil et se voir épiler la chatte sous les yeux d’une inconnue deux fois moins âgée qu’elle, lui laissa des sentiments mélangés de honte et de désir. Elle eut néanmoins, le soir même, l’agrément d’une inversion des rôles dont elle retira une sensuelle satisfaction qui, jointe à la séduisante ingénuité de la demoiselle, leva tout obstacle à se livrer devant cette dernière aux ébats les plus saphiques avec la maîtresse de maison.
Parallèlement, Chantal était passée d’une curiosité un tantinet perverse à un franc intérêt pour l’association de la peine et du plaisir. Les anecdotes que lui ...