Résumé des ébats
Datte: 25/04/2024,
Catégories:
fff,
fplusag,
jeunes,
vacances,
plage,
campagne,
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
Masturbation
uro,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... narrait Colette sur sa propre initiation, son éducation, ses entraînements, et ce qui s’en était suivi, réveillaient en elle la tentation de s’identifier à la conteuse. Elle s’apprivoisa peu à peu à l’idée d’éprouver pour de bon les étranges impressions que pouvait ressentir une soumise. Nul n’était plus qualifié pour les lui faire réellement connaître que celle qui, l’honorant de ses confidences, avait réussi comme Domina réputée et pratiquait encore occasionnellement. Elle s’abandonna en totale confiance à ses enseignements.
Colette la prit en mains par paliers successifs, s’assurant à chaque étape que la demande ou l’acceptation exprimée par son élève correspondait à sa volonté avérée et éclairée. De jeux d’obéissance en petits avilissements, de titillements agaçants en fessées cuisantes, alternant douceur et sévérité, elle la conduisit à l’impatience d’endurer une douleur physique. Chantal connut le plaisir de la honte, l’excitation de l’humiliation, le veule confort de la soumission, le désir de la punition, l’affolement des sens et l’orgasme dans la souffrance. Elle tâta aussi de la domination et s’effraya de la facilité d’en jouir.
Bref, Chantal en apprit plus sur elle-même en quelques jours que dans les cinq ou six lustres de sa vie d’adulte. Le lendemain de son initiation, elle s’avoua être quasiment amoureuse de Colette et désolée de devoir la quitter. La tristesse partagée de leur séparation atténuée par la promesse de se revoir, elle rentra chez elle bien ...
... décidée à suivre la maxime préférée de son hôtesse : orgasme au réveil garde le sexe en éveil. Et de fait, elle la mit en application sans attendre, au point de se faire surprendre par sa fille Manon et trois amies étudiantes de celle-ci, en pleine masturbation éhontée.
Elle aurait dû en rougir, mais ce furent les plus jeunes qui furent les plus étonnées, sinon gênées. Son assurance nouvelle dissipa le malaise. Elle assuma sa nudité comme sa branlette et personne ne s’offusqua de choses aussi naturelles. Sur sa lancée, elle ne cacha rien à son mari, distillant à bon escient la vérité par petites touches et remerciant le sort de lui avoir fait épouser un homme à l’esprit large et compréhensif. Une exception, je vous le concède.
Les jours, les semaines et deux ou trois mois s’écoulèrent ainsi, Chantal vivant le parfait amour, selon l’expression consacrée, avec son conjoint sans se priver d’agréables intermèdes à distance avec Colette ni de satisfactions solitaires. Le retour de l’été modifia le contexte.
Les vacances avaient ramené Manon à la maison. De nouvelles obligations professionnelles avaient expédié le mari au loin pour une durée conséquente. Une longue période de farniente s’ouvrait, meublée de bains de soleil, communs, et de menus plaisirs, chacune de son côté, pour la mère et la fille. Le topless leur était devenu pratique courante dans le jardin, voire la nudité complète que Chantal aurait souhaité être de règle pour faire trempette, si un reste de pudeur ne ...