1. Week-end imprévisible ?


    Datte: 15/04/2024, Catégories: fh, hplusag, jeunes, inconnu, amour, massage, caresses, Oral pénétratio, fouetfesse, confession, nostalgie, rencontre, prememois, Auteur: Zebulon9275, Source: Revebebe

    ... cependant, reconnaître qu’elle voulait m’aider et, surtout, ne pas être un poids pour moi. Elle continuait sur sa lancée et se mit à inspecter tous les placards de la cuisine et les tiroirs. Elle voulait voir, soi-disant, comment un célibataire endurci s’organisait chez lui pour survivre. Peut-être qu’elle voulait, surtout, me faire admirer ses fesses et son intimité secrète, car quand elle levait ses bras au-dessus de sa tête le bas de ma veste de pyjama lui remontait largement sur le dos et le ventre !
    
    Elle me prenait un peu la tête avec ses propos, elle n’arrêtait pas de faire des commentaires sur mes ustensiles. Je dois dire qu’elle avait beaucoup d’humour. Finalement, après quelques minutes d’intermède, nous avons fini par nous asseoir pour déjeuner. Elle a bien été obligée de me laisser parler, car elle s’était mise à me poser toute une série de questions sur ma formation et sur ce que je faisais à l’Institut Pasteur. Elle s’est montrée à partir de ce moment-là beaucoup plus posée et vive d’esprit. Il ne faisait aucun doute que son attitude d’avant repas ne correspondait pas à sa vraie nature, cela avait été un moyen pour elle d’évacuer le stress de se retrouver toute seule avec moi.
    
    Elle connaissait peu de garçons en dehors de ses frères avant d’intégrer la fac de pharmacie, et là ; il y avait plus de 80 % de filles. Elle avait fait toutes ses études secondaires dans les maisons de La Légion d’honneur. Il ne faisait aucun doute que c’était la première fois ...
    ... qu’elle se trouvait seule dans un logement d’homme qui n’était pas un de ses frères. Ce qui était bizarre, c’est que durant tout le temps où elle était restée à la cuisine, elle ne fit aucun effort pour être plus présentable ; elle était toujours avec ma veste de pyjama lui arrivant seulement aux fesses. Se tenir à moitié nue dans la cuisine semblait être pour elle un moyen de montrer une certaine liberté revendiquée face aux autres. Je n’avais pas à m’en plaindre, mais je plaignais l’homme qu’elle prendrait dans ses filets comme compagnon ou mari, car elle risquait d’être souvent ingérable.
    
    Après avoir pris notre café, je l’ai accompagnée à ma chambre pour vérifier si tout était en ordre.
    
    — Julie, profite bien de mon lit ; fais une bonne sieste. Je te réveillerai vers 17 h et nous irons à Boulogne au centre commercial.
    
    ooooooooooooooo
    
    Je retournai à la cuisine pour m’occuper de la vaisselle et du linge. J’en profitai pour appeler Philippe, mais il était sur répondeur ; je lui laissai donc un message pour dire que tout allait bien pour Julie, qu’elle avait retrouvé son état normal. Ce n’était pas tout à fait vrai, car cela faisait à peine quinze minutes que je l’avais abandonnée dans ma chambre qu’elle réapparaissait dans la cuisine, avec des traces de larmes sur les joues.
    
    — Ça ne va pas, Julie !
    — Non ! Dès que je suis seule, je stresse, je me pose plein de questions : que va penser mon frère ? Que vont dire ses amis ? Que va dire Camille ? Pourquoi ai-je pris de ...
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