Week-end imprévisible ?
Datte: 15/04/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
inconnu,
amour,
massage,
caresses,
Oral
pénétratio,
fouetfesse,
confession,
nostalgie,
rencontre,
prememois,
Auteur: Zebulon9275, Source: Revebebe
... rejoindre ton logement. Si je te ramène dans les habits qui te restent, tes amies te poseront beaucoup de questions ; il en est de même si tu leur dis qu’il faut qu’elles t’apportent une tenue ici, à moins que tu aies beaucoup d’imagination pour construire in scénario plausible.
— T’inquiète pas ! Je n’ai pas l’intention de les faire venir ici avec mes affaires. Elles sont beaucoup trop indiscrètes et j’aurais droit à la même question durant le reste de l’année : pourquoi je me retrouve avec des habits dégradés chez un « soi-disant » ami ? De plus, je les connais, toutes les deux sont à la recherche de leur « homme » et dès qu’elles seraient entrées ici, elles n’arrêteraient pas de te draguer. Elles peuvent être un peu casse-pieds ! Pour le moment, je considère que c’est moi qui ai la priorité pour le faire, mais sois rassuré, je n’en ai pas l’intention, me dit-elle tout en souriant malicieusement.
— Ne crois-tu pas qu’il serait de bon ton que tu enfiles un pantalon, car, dès que tu bouges, tu montres à tout le monde tes fesses et ton petit trésor ? Tu n’es vraiment pas présentable !
— Antoine ! Je te ferais remarquer que tu connais bien mon corps avec tous mes secrets ; je crois même que tu y as touché avec beaucoup de doigté. D’après ce que je vois, tu n’es pas devenu aveugle et tu n’es pas paralysé. Je sais que, dans la bonne société, cela ne se fait pas de rester ainsi, mais le créateur m’a ainsi faite et je suis fière de son travail. Cependant, il n’est pas ...
... question que tu recommences. Ce sera un petit secret entre nous que je garderai jusqu’à la fin de ma vie.
— Méfie-toi, on peut s’enrhumer par les fesses.
Elle me regardait tout par en dessous avec un grand sourire, une manière de me dire « Cause toujours ; tu m’intéresses ». C’était un acte très réfléchi, elle faisait tout pour me chauffer comme si elle avait envie de me goûter en tant qu’homme.
J’allais découvrir ensuite une autre facette de Julie. Dès que j’avais proposé de nous mettre à la cuisine, elle avait opiné de la tête et s’était précipitée sur la partie congélateur du frigo avant que je puisse ouvrir la bouche puis sur les placards. Elle était devenue hyperactive.
— Antoine ! Il y a de la Moussaka, il y en a assez pour deux, j’adore. Tu as des avocats, c’est pas mal comme entrée si tu es d’accord. As-tu des fruits ?
— Oui, derrière toi, sur le plan de travail.
— Je te propose : avocats à la vinaigrette, moussaka Picard, fruits frais avec des sorbets. Il y en a plein dans le congélo. Et tu as aussi de la fourme d’Ambert si cela ne te suffit pas ; pour moi, c’est superflu, car je serai rassasiée même sans fromage. Pour la boisson, ce sera simplement de l’eau, car j’ai trop bu hier soir.
Je n’avais pas ouvert la bouche depuis le début et, en moins de cinq minutes, elle avait fait le menu du repas et mis la table. Elle m’était apparue alors d’une très grande efficacité, un peu trop grande même à mon goût, car j’aime faire les choses dans le calme. Je devais, ...