Week-end imprévisible ?
Datte: 15/04/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
inconnu,
amour,
massage,
caresses,
Oral
pénétratio,
fouetfesse,
confession,
nostalgie,
rencontre,
prememois,
Auteur: Zebulon9275, Source: Revebebe
... pour régler ses problèmes intestinaux.
J’étais assez content qu’elle ait ces petits problèmes, car elle allait être soulagée et elle rejoindrait la voiture pour dormir tranquillement jusqu’à Paris. Cela aurait été trop facile. Je restais à patienter debout auprès de la voiture, mais, ne la voyant pas revenir, je commençais à m’impatienter. Aurait-elle fait un malaise ? Avoir des coliques et se soulager peut durer un certain temps, mais celui-ci me semblait bien long et j’étais gêné pour intervenir trop rapidement.
Au bout de dix minutes, ne la voyant toujours pas revenir, je finis par me diriger vers l’arrière du bosquet où elle s’était cachée. Qu’elle ne fut pas ma surprise, il n’y avait pas de Julie, mais il y avait ses traces, elle avait laissé un collant, une petite culotte noire tâchée et la cause des dégâts. Je dois dire que ce n’était pas une bonne surprise. Il ne manquait plus que cela ! Elle était partie, jambes nues à travers les arbres, en titubant, en pleine nuit. Je me voyais déjà, téléphonant à la gendarmerie pour leur expliquer que j’avais perdu ma passagère plus ou moins alcoolisée au milieu des bois. Je me précipitais au volant pour manœuvrer mon véhicule de façon à éclairer la forêt en arrière du bosquet paravent.
Je n’en menais pas large. Julie était en train de divaguer sans manteau, sans collant, avec des chaussures de soirée au milieu des bois, et moi, j’essayais de la repérer. Heureusement, assez rapidement, j’avais entendu une sorte de plainte ...
... rauque et je n’avais pas hésité à aller dans cette direction. J’avais, alors, aperçu Julie agenouillée au pied d’un arbre, se balançant sur elle-même et émettant une mélopée faite de phrases inintelligibles mises bout à bout. Je me précipitais vers elle et, sans précaution, la pris sous les aisselles pour la redresser. Que n’avais-je pas fait ! Elle se mit alors à hurler.
— NON ! NON ! LAISSEZ-MOI, JE NE VOUS AI RIEN DEMANDÉ ! PAS QUESTION D’ÊTRE VIOLÉE
— Julie ! Je suis Antoine, l’ami de ton frère, laisse-moi te ramener à Paris.
— NON ! NOOONNNN ! Je sais ce que tu veux faire, tu veux me violer !
— Si tu veux, nous téléphonons à Philippes, il te le dira : tu dois rentrer chez toi pour te reposer. Je te fais le numéro et je te passe le téléphone dès que j’ai ton frère au bout du fil.
— Il n’en est pas question ; NON ! NON ! JE NE ME LAISSERAI PAS FAIRE. JE N’AI PAS DE FRÈRE !
Si elle n’avait fait seulement que crier, mais, malheureusement pour moi, en même temps qu’elle clamait avec ses hurlements sa révolte, elle me donnait des coups de pied et elle essayait de fuir mes bras en se contorsionnant dans tous les sens. Têtue comme une mule, elle allait finir par m’échapper après m’avoir mordu jusqu’au sang la main gauche. Sous la douleur, je la lâchai et elle partit aussitôt en titubant entre les arbres, s’enfonçant encore plus dans le sous-bois.
Par suite d’une faute d’inattention je perdais assez rapidement tout contact visuel avec elle. J’étais vraiment dans mes ...