Week-end imprévisible ?
Datte: 15/04/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
inconnu,
amour,
massage,
caresses,
Oral
pénétratio,
fouetfesse,
confession,
nostalgie,
rencontre,
prememois,
Auteur: Zebulon9275, Source: Revebebe
... les lieux avec mon paquet amorphe, chantonnant des mélopées faites de phrases inintelligibles mises bout à bout, Antoine me donna ses dernières recommandations : si tu sens que son état empire, tu vas aux urgences à Compiègne, à Versailles ou à Paris en fonction de l’endroit où tu es. Je pense qu’elle est dans un état assez stationnaire pour supporter ce court voyage ; elle a déjà vomi, il se peut que cela recommence, mais j’ai l’impression qu’elle va cuver alcool et drogue, tout calmement, durant ton retour sur Paris. Si elle a froid, pense à ma doudoune(veste en duvet) que j’ai mise dans ton coffre de voiture ; elle sera trop grande pour elle, mais elle devrait l’aider à avoir chaud.
Je suis alors parti, j’étais heureux de rendre service à mon ami, mais je plaignais un peu Julie, car il ne faisait aucun doute que son frère allait lui remonter les bretelles dès qu’il la reverrait. J’avais, peut-être, un peu trop de compassion pour elle, mais, durant son transfert, je l’avais sentie fragile. Il faut dire qu’elle était très fine de corps avec de petites fesses, elle ne faisait pas du tout son âge. Elle ressemblait plus à une ado montée en graine, car elle faisait de l’ordre de 1,70 m. J’essayais de revoir ses traits, mais j’en étais bien incapable, car je n’avais pas trop fait attention à elle. D’ailleurs, après qu’Antoine fut venu la chercher pour le présenter à quelques sommités médicales, je ne l’avais plus revue, j’avais été de groupe en groupe sans faire attention ...
... aux autres personnes isolées.
Quand j’avais quitté la maison de Saint-Léger, mon moral était au beau fixe ; j’étais content, je rendais service à un de mes amis ; cependant, cela n’allait pas durer. Brusquement, Julie s’était dressée sur la banquette arrière en hoquetant et en se plaignant du ventre.
— Monsieur ! Arrêtez-vous ! J’ai envie de vomir et j’ai très mal au ventre, il faut que je me soulage. Monsieur… !
Je voyais bien qu’elle se tordait de douleur, mais je ne pouvais pas m’arrêter brusquement au milieu de la chaussée. Par chance, alors que je réfléchissais sur la conduite à suivre et que j’avais déjà pas mal ralenti, je vis un sentier s’enfoncer dans les bois sur le côté gauche de la route, sente qui avait le mérite, pour nous, en voiture, de n’être pas interdite complètement à la circulation. La barre bloquant le passage avait été déposée de côté, ce qui allait me permettre de m’enfoncer avec la voiture dans le massif forestier. J’ai alors roulé à petite vitesse sur une centaine de mètres et arrêté la voiture au milieu du chemin dans une portion de forêt de haute futée assez aérée avec une belle litière épaisse de feuilles mortes et des bosquets arbustifs. J’avais à peine arrêté la voiture que Julie se précipitait hors du véhicule tout en se débarrassant de son manteau ; elle avait fait à peine quatre ou cinq mètres qu’elle s’écroulait dans la boue du chemin pour vomir puis elle partit en titubant sur une vingtaine de mètres se cacher derrière des arbustes ...