Douches, toilettes, et plus si…
Datte: 12/04/2024,
Catégories:
fff,
fplusag,
jeunes,
douche,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
fist,
fdanus,
uro,
lesbos,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... d’une petite fille coupable de puer la crevette avariée. L’humiliation me glace et ma gêne revient.
Marie cache aux regards ma vulve fautive en la couvrant de son éponge salvatrice. Mais elle s’attarde trop longtemps au gré de Colette qui la tance.
— Prends le gant ! Frotte dans les aines au lieu de masser la moule !
Marie change de main. D’abord timide, elle s’enhardit vigoureusement. Le crin irrite la peau fragile entre cuisses et pubis en la débarrassant des impuretés nichées dans ses plis. Je résiste de mon mieux, écartelée dans ma pose inconfortable de quasi « grande ouverture », m’efforçant de rester stoïque sous les rudes attouchements qui enflamment ma fourche. Car, à l’irritation de l’épiderme inguinal, s’ajoute sournoisement l’excitation de l’épiderme vulvaire. Une réaction mécanique – pour être pudique – qui n’échappe pas à l’observatrice attentive.
— Voyez-moi ça ! Ta moule gonfle, vicieuse cochonne, m’apostrophe Colette. Profites-en pour lui récurer les babines, Marie. Et n’oublie pas d’aller bien profond entre les lèvres !
Difficile d’exécuter cette tâche d’une main si la victime n’y aide pas, si peu que ce soit. Marie le constate et se résout à solliciter ma participation.
— Chantal, est-ce que vous… Aiiie !
— Pas de « vous », t’ai-je dit ! Et pas de « Chantal » non plus, gronde Colette.
Sa cravache s’abat une seconde fois sur le postérieur rebondi de ma soubrette maîtresse.
— Aie ! Pardon… Ma… dame, bredouille celle-ci en se retenant ...
... de frictionner ses fesses avant de poursuivre sur un ton plus convaincu : écarte ta chatte, toi ! Je veux tout voir bien à plat !
Colette hoche la tête avec un sourire et échange avec moi un clin d’œil complice qui me fait chaud au cœur. J’obéis plus volontiers à l’ordre d’étaler sans vergogne mon sexe. Les doigts sur les bords, je l’étire autant que je peux à deux mains pour bien séparer les grandes lèvres des petites, parfaitement consciente que j’en montre encore plus que lorsque je l’écartais pour pisser. Mon entaille ouverte à l’extrême, je suis prête à accueillir l’éponge douce dont Marie se prépare à l’enduire.
Mais à peine a-t-elle esquissé son geste qu’une nouvelle zébrure sur son cul l’arrête net.
— Avec le gant, petite idiote, l’admoneste Colette. Si tu veux caresser, caresse avec le crin !
Hou la ! Mauvaise mayonnaise, comme aurait dit mon grand-père. Fini l’espoir de troquer ma déchéance contre des caresses, je dois m’attendre à quelque chose de brutal si Marie agit de la sorte. L’inquiétude me raidit…
« Oh la salop… »
Je repousse cette pensée, mais le contact m’arrache un gémissement. Le gant m’astique la minette, non, la cramouille serait plus appropriée, sans ménagement. Il passe et repasse sur mes lèvres – mes babines, comme l’a dit méchamment Colette – leur infligeant râpe et brûlure. C’est particulièrement douloureux sur les nymphes qu’il froisse, écrase et tord dans tous les sens. À chaque fois que le tissu poilu comme un hérisson revient ...