1. Douches, toilettes, et plus si…


    Datte: 12/04/2024, Catégories: fff, fplusag, jeunes, douche, fsoumise, fdomine, soubrette, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, fist, fdanus, uro, lesbos, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... doigts sur le pommeau d’une courte cravache. À côté, un tréteau encombré de divers instruments : martinets, pinces à seins et chaînettes plombées. Plus loin, un demi-cercle de figures hilares. Enfin, toutes sauf une. Coincée entre Andréa et Janine, Anaïs, benjamine, affiche triste mine.
    
    Un ange passe. Lui évoquerais-je Suzanne au bain ? Ou bien confondrait-il kimonos et consœurs ? Il se détrompe vite en voyant Colette taquiner les fesses de Marie du bout de sa verge.
    
    — Hé bien ? Qu’attends-tu ? Nous n’avons pas toute la nuit !
    
    Marie presse l’éponge sur mes épaules, la passe sur mon dos, sur mes flancs. L’eau est à peine tiède.
    
    — Les aisselles et les bras, lui rappelle Colette.
    
    Je les tends, les relève, me laisse nettoyer en dessus et dessous, sur la nuque et le cou. J’offre même mes joues au gant revigorant. Si je ferme les yeux, je peux m’imaginer…
    
    — N’oublie pas la poitrine !
    
    La voix au ton gouailleur m’interdit de rêver, mais la suite est suave. Une main douce me savonne de caresses moelleuses et les frissons que j’éprouve me rassérènent un peu. Las ! La main est maladroite pour soulever un sein. La crasse et le savon le rendent trop glissant.
    
    — Attrape-le par le bout ! Les tétons sont faits pour ça, conseille l’instructrice.
    
    Marie suit cet avis et me saisit le droit. Elle doit pincer fort pour assurer sa prise. Je me sens écrasée et la douleur m’irrigue. Mais je serre les dents, et je souffre en silence. Mon public s’amuserait de me voir crier. ...
    ... i>Sed sustine et abstine ! D’ailleurs, cette peine m’enchante. Elle ranime les ondes qui dormaient dans mon ventre. Du pouce et de l’index, un téton et puis l’autre, du gant et de l’éponge, sous un globe et sous l’autre, Marie alterne tortures et câlins.
    
    J’ai oublié ma honte, je me prête à son jeu, je l’encourage même, en pensée tout au moins. Je me laisse porter par la chaleur intime que suscitent ses mains. Je suis une princesse que lave une soubrette… Pas pour longtemps ! Le constat moqueur de Colette me ramène au réel.
    
    — C’est bon, Marie. Le haut est propre, occupe-toi du bas !
    
    Eh oui, le bas, comment va-t-elle s’y prendre ? J’ai bien quelques idées… Je me tais, puisque je suis Soumise. Marie est ma Maîtresse, à elle de savoir. L’hésitation la paralyse un instant, puis elle se racle la gorge. Ses premiers mots couinent, mais elle se reprend.
    
    — Mets le pied sur le bord ! Plus vite ! Montre-moi ta chatte !
    
    Elle n’a pas osé ajouter « salope », mais l’intention y était, j’en jurerais.
    
    J’obtempère à ses désirs en lui présentant mon entrecuisse ouvert, et dans ce mouvement ma chatte négligée libère ses senteurs. Elles montent à mon nez de façon si puissante que celui de Marie doit en être embaumé. C’est normal, naturel, rien d’autre, après tout, que des fragrances que nous avons déjà partagées elle et moi, seule à seule. Ici, j’exhale en public mes odeurs intimes honteusement chargées. Les mines ostensiblement dégoûtées des spectatrices me rabaissent au niveau ...
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