1. Douches, toilettes, et plus si…


    Datte: 12/04/2024, Catégories: fff, fplusag, jeunes, douche, fsoumise, fdomine, soubrette, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, fist, fdanus, uro, lesbos, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... cette fin de journée. Ces dames ont passé des kimonos. Elles finissent leurs boissons et picorent quelques douceurs, pendant que je grignote nue dans mon coin, bannie pour cause d’odeurs et d’aspect repoussant. J’évite les regards que Marie et Anaïs me jettent à la dérobée, et si par hasard je les croise, j’essaie de faire bonne figure pour cacher ma morosité. Pourtant, en dépit de tout, je n’éprouve pas de ressentiment contre Colette, mais j’attends avec une impatience coupable la nouvelle épreuve qu’elle m’imposera.
    
    La dînette se termine. J’espère, et malgré moi je tressaille quand Colette prend la parole.
    
    — Allons, mesdames, il est temps pour Chantal d’être récompensée de ses efforts. Passons au donjon et voyons comment notre petite Marie va se débrouiller.
    
    Un joyeux brouhaha salue son invitation. S’il semble unanime, j’en devine la diversité des motifs. Les plus averties spéculent sur la fantaisie de leur hôtesse. Pour Anaïs, le mimétisme l’emporte sur la conviction, et Marie ne rit que pour dominer son trouble. Quant à moi, je cache mon excitation inquiète sous un air résigné tandis que l’on me pousse vers l’autel de mon supplice désiré.
    
    Une large bassine de zinc, un tub à l’antique, trône sur son socle au centre de la pièce. Mais ce n’est pas vers là que m’oriente Colette. Elle me désigne l’endroit qu’à ma première visite j’avais pris pour une sorte d’isoloir, et qui, tous rideaux repliés, expose l’oblongue toilette à la turque surélevée où elle m’avait ...
    ... accompagnée. Son geste se double d’un ordre sans appel.
    
    — Va pisser !
    
    Je me hisse sur la faïence en prenant garde de m’épargner le ridicule supplémentaire d’une glissade. Pisser devant son amoureuse, c’est une chose. Devant six autres personnes qui vous regardent comme au spectacle en est une autre. Un réflexe de pudeur inopiné m’incite à m’accroupir de dos, ce qui m’attire aussitôt un cinglant rappel à l’ordre.
    
    — Face à nous, idiote ! Je veux être sûre que tu te vides bien.
    
    Comme si je pouvais me retenir, une fois les vannes ouvertes ! Mais il me faut obéir et me tourner pour ouvrir mes cuisses en montrant aux sept paires d’yeux qui la scrutent ma chatte poisseuse. Oui, poisseuse, je le sais. J’ai mouillé au spectacle du lin transparent moulant les corps. J’ai mouillé en lavant Colette et ses amies. J’ai mouillé en douchant Marie et Anaïs. J’ai mouillé tout à l’heure sous les regards moqueurs et je mouille en exhibant mon intimité. La honte fourmille dans mes cuisses, dans mes reins, dans mon ventre et jusque dans mes paumes, mais je mouille !
    
    Est-ce de honte que je frémis, d’ailleurs, ou de plaisir ? Pourquoi me mentir, si ce n’est pour me disculper hypocritement de mon désir ? Oui, j’aime m’exhiber et je suis plus excitée de le faire devant une femme. Être regardée par une ou par sept, quelle différence ? Aucune, sinon de multiplier mon excitation. Eh bien, je l’admets, je l’accepte, j’en profite…
    
    J’écarte à deux mains mes lèvres, j’ouvre ma moule gluante. ...
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