1. Douches, toilettes, et plus si…


    Datte: 12/04/2024, Catégories: fff, fplusag, jeunes, douche, fsoumise, fdomine, soubrette, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, fist, fdanus, uro, lesbos, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... tétons, je m’attendais à une carnation la rappelant, mais ces chairs fragiles étaient d’un rose tendre qui rendait l’ensemble ravissant.
    
    Entraînée par l’ambiance et encouragée par Marie, ou simplement par peur de se distinguer par une pudibonderie que personne au reste ne lui aurait reprochée, Anaïs s’est présentée la dernière pour recevoir mes soins. Je l’ai aidée à s’installer sur son podium, non qu’elle en ait eu besoin, mais pour le plaisir d’admirer la fermeté de ses petites poires pointées et le jeu des muscles de ses fesses en pommes. Le parfum de son jeune corps m’a baignée un instant. Même en sueur, cette fille exhale la fraîcheur.
    
    Je me suis autorisée – peut-être avec la complicité de la vigilance moins stricte de Colette – quelque initiative en indiquant à Anaïs comment se tenir, jambes légèrement écartées et mains sur la tête, afin que je l’arrose plus commodément sur le devant et le derrière. Je n’ai pas interrompu le jet alors qu’elle se tortillait au contact de l’eau maintenant très froide. Je tenais à chasser d’elle la moindre trace de transpiration de la nuque aux talons comme des aisselles aux orteils, me délectant, pour être honnête, de la dureté incarnate des tétons autant que de la mince silhouette, de la cambrure des reins, ou de la finesse des hanches.
    
    De face, j’ai souri devant la touffe noire, bien entretenue depuis son épilation, et les boucles de poils courts, à peine bouleversées par le ruissellement de l’eau. Mais leur heureuse ...
    ... propriétaire semblait tétanisée d’en montrer plus. Aussi ai-je abusé de ma situation de soubrette dévouée pour lui conseiller d’écarter les cuisses en pliant un peu les genoux et d’avancer le bassin en me présentant son minou ouvert. Elle a rougi en se forçant à prendre cette pose obscène.
    
    Ses menottes tremblaient sur les fuseaux bombés des lèvres qu’elles séparaient pour dévoiler la fente rose et les courtes nymphes en amandes dont les souples festons se rejoignaient sur un adorable bouton en pointe. J’ai douché sans remords cette merveille de délicatesse qui se creusait et frémissait sous les mille piqûres excitantes que je lui infligeais. J’imaginais les sensations auxquelles se prêtait la victime de cette douce et utile torture. J’en suivais sur ses traits l’évolution visible de la gêne au plaisir. Elle et moi affections de nous en désoler.
    
    C’est Colette qui a mis fin à ce jeu doublement hypocrite en battant le rappel de sa troupe, et dissipé aussitôt l’espoir que j’avais de redevenir présentable. Sans considération pour mon état crasseux, elle m’a expédiée préparer la collation du soir. J’ai servi l’apéritif, sale de sueur et barbouillée de terre, en butte aux quolibets ironiques qu’elle me lançait et que relayaient ses amies. Je n’ai même pas eu la veule consolation de passer sous la table pour goûter leurs chattes : il n’y en avait pas d’assez haute pour ce cocktail dînatoire dans le salon de réception.
    
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    Maintenant, je ressasse dans ma tête les déconvenues de ...
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