1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1643)


    Datte: 08/04/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... branlait au-dessus de mon visage, la tête en arrière à la renverse, me fixant sans ciller. Après quelques secondes, il se penchait en avant, pinçait les lèvres, et un filet de salive dégoulinait depuis sa bouche jusqu’à la mienne. Son crachat tombait sur mes propres lèvres, avant de couler sur mon visage.
    
    - Ouvre !, ordonnait-il
    
    J’ouvrais la bouche, et laissais sa salive couler à l’intérieur de moi, rejoindre ma langue et descendre dans ma gorge. Elle avait un goût de tabac froid, un goût d’humiliation et de déchéance, provoquant dans mon corps des frissons glacés de honte et d’extase. Ce jeune homme crachait de nouveau et cette fois-ci son mollard tombait directement dans ma gorge. Je fermais les paupières tant mon corps frissonnait, tant ma peau était brûlante, brûlante d’un plaisir honteux
    
    - Ouvre ta gueule, j’ai dit, sale pute !, criait-il.
    
    J’ouvrais alors plus encore la bouche, lui enfonçait son sexe bandé. Sa bite était tiède, elle avait un gout salé et autoritaire qui enivrait mes sens. Tête renversée, je faisais glisser ma langue autour de son membre bandé, je suçai le gland à grands bruits, j’écoutais mes gémissements de plaisir, je sentais des grosses mains, celles de Markus et de Rémy, relevées mes jambes et écartées mon trou. Je sentais un objet froid presser mon anus, puis d’autres mains plus affirmées, celles de Madame Marie, s’agripper à mes hanches. A cet instant, je sentais une poussée dans chacun de mes orifices : Une bite dans ma bouche, un ...
    ... gode ceinture dans mon cul. Le loubard et Madame Marie me pénétraient violemment sans concession. Ils me défonçaient l’un et l’autre. Mon corps tout entier était soumis à une tension intolérable, comme écrasé par une masse brûlante qui m’alanguissait les muscles et dans mon bassin, aux creux de mes reins des sensations inexplicables, à la fois douloureuses et jouissives. Madame Marie n’en finissait pas de me péter le cul tout en fessant allègrement le cul. C’était une saillie comme on en voyait dans les films, une saillie réservée aux porcs, aux chiens, quelque chose de violent et d’humiliant. Du côté opposé, le loubard s’enfonçait encore plus profondément, jusqu’à ce que ces couilles frappent mon front et sa bite se tende plus encore, allant heurter mon palais et ma glotte, jusqu’à ce qu’il crache six ou sept longs jets de sperme tiède au fond de ma gorge, avant qu’il ne relâche son emprise.
    
    Mon corps entier se tordait de crampes de bonheur, ce gland factice embrasait ma prostate. L’orgasme me parcourait de la tête aux pieds. Ma nouille se tendait encore sous la douleur et/ou le plaisir, gonflée à n’en plus pouvoir. Il fallait que je me termine… j’essayais de saisir ma nouille, mais une main, celle de Markus m’en empêchait, une autre me claquait le visage à deux reprises.
    
    - Jouis du cul, salope, uniquement du cul, c’est la seule jouissance que nous t’autorisons, sale bâtard !, m’intimait Madame Marie !
    
    Mais celle-ci se retirait d’un coup d’un seul, laissant mon cul ...