1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1643)


    Datte: 08/04/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1642) -
    
    - Si tu en fais tomber seulement une goutte, je t’assure que tu n’auras plus de couilles avant que je ne reparte…, dit-elle, en levant sa cravache en l’air comme pour me menacer qu’elle n’hésiterait pas à me les frapper fort et sans ménagement, cette fois…
    
    Apeuré par cette sadique femme capable de tout, j’avalais doucement, déglutissant lentement pour ne pas m’étrangler et m’étouffer… C’était immonde et répugnant, jamais je n’avais avalé du foutre froid, sans plus grande consistance, sans grande saveur, n’ayant plus sa texture visqueuse. Jamais je n’avais bu une aussi grande quantité de sperme, sans savoir à qui appartenaient ces semences. Jamais je n’avais pris en bouche du jus de mâle autrement qu’après avoir titillé le bout d’une queue ! Madame Marie rabaissait la bouteille me laissant avaler une énième gorgée…
    
    - Tu aimes ça, la chienne… une vraie sale catin que tu es… J’espère que parmi tous ces foutres amalgamés et assemblés, tu en reconnais au moins un ?
    
    Où voulait-elle en venir ? Que voulait-elle me faire dire ? Je baissais la tête mais la cuisinière me la redressait aussitôt après avoir empoigné ma chevelure. Ses yeux diaboliques, son sourire malsain me faisait craindre le pire…
    
    - Tu ne reconnais pas celui de ce bâtard d’esclav’antoine ? Pourtant il a giclé comme un gros porc en rut, lorsqu’il a su que c’était pour toi, il t’a mis ...
    ... une bonne dose, rien que pour toi, la pute…
    
    Madame Marie me remettait la bouteille en bouche, la soulevait. Je buvais encore, jusqu’à l’écœurement !
    
    - Avale, sale truie… et sans manière, tout le monde sait ici que tu n’es qu’une buveuse de foutre, qu’une videuse de couilles…
    
    Heureusement la bouteille se tarissait… mais les humiliations continuaient. La cuisinière me tenait par les cheveux, me secouait la tête en me disant que cette bouteille contenait au moins vingt-cinq éjaculations différentes. Elle me disait que la plupart des mâles traient l’avaient été à deux ou trois reprises… sauf un, un seul n’avait eu droit à gicler qu’une seule fois… une nouvelle petite pute, une salope toute fraiche, venant d’arriver au Château, un nouveau bâtard mâle effarouché et à dresser avec force, baptisé esclave Katia par le Maître… Elle en restait là, relâchait mes cheveux et ordonnait à Markus et Rémy de m’installer coucher à plat dos sur la table :
    
    - Non… la tête de cette pute ne doit pas reposer sur la table, mais doit rester dans le vide… Otez-lui sa cage de chasteté et tenez-lui les jambes relevées et écartées, dictait-elle à Markus et Rémy
    
    On m’écartait les fesses, j’offrais ma rondelle au regard de cette sadique bonne femme. Madame Marie s’intéressait à ma raie anale. Son doigt effleurait mon sillon, dans son autre main, elle agitait un flacon de mousse à raser. La cuisinière me badigeonnait le cul, peu après, avec précision et dextérité, elle me rasait, m’épongeait et ...
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