1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1643)


    Datte: 08/04/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... constatait qu’il y avait encore quelques poils. Alors, avec une pince à épiler, elle arrachait ses derniers poils récalcitrants, un à un. Je sursautais et gémissais à chaque fois qu’elle en retirait un supplémentaire. Lorsqu’elle eut terminé, se fut au tour de mes couilles de subir les assauts, puis vint le moment où, elle s’acharnait sur mon pubis avec une habileté folle. Je cramponnais la table de mes deux mains, laissant parfois de longs gémissements s’échapper de ma bouche grande ouverte à chaque fois que cette pince à épiler extirpait un nouveau poil retiré sans ménagement comme pour mieux me faire souffrir. Madame Marie ne se laissait pas impressionnée par mes plaintes, ni par mes soubresauts. Au contraire, elle jubilait de mes cris et m’injuriait, me traitait de tous les noms d’oiseau à chaque fois que je bougeais et comme je n’avais de cesse de remuer, elle avait très rapidement trouvé une solution pour me faire tenir tranquille. Madame Marie venait d’empoigner mes couilles, les tenait fermement et les comprimait à chaque sursaut ou geignement, jusqu’à ce que je m’avoue vaincu. Malgré ces affres, sans en comprendre la raison, ma nouille durcissait et se raidissait. Elle s’érigeait plus encore lorsque la cuisinière me tondait les tempes et la nuque, laissant seulement une touffe sur le haut de mon crâne. Je ne devais plus ressembler à grand-chose avec une telle coupe de cheveux, mon image en prenait un sale coup !…
    
    Je ne connaissais pas celui qui était arrivé… Un ...
    ... type d’une trentaine d’année, long et mince, la peau bronzée, le visage en lame de couteau, les yeux clairs et tranchants, cheveux rasés, une barbe de trois jours. Il se tenait légèrement courbé, était vêtu d’un bomber en cuir, d’un jean, d’une paire de rangers, style loubard ou petite racaille, les mains dans les poches, il me toisait avec un air méprisant, sans crier gare, subitement et sans un mot, il me crachait au visage. Une belle entrée en matière !... Apeuré, je tremblais, mes mains étaient moites alors qu’il dézippait la fermeture éclair de sa veste laissant paraitre son torse glabre. Il se caressait son entrejambe gonflé sous son jean, puis sans un mot empoignait à pleine main ma nouille toujours tendue et tirait dessus jusqu’à ce que je hurle. La sensation était étrange, à la fois terriblement douloureuse et hypnotique. La souffrance se mêlait au plaisir de me faire branler de la sorte. J’avais le sentiment d’être emporté dans une spirale d’autodestruction dans laquelle je me laissais emporter pour échapper à la douleur. Il jouait encore quelques minutes avec ma nouille, jusqu’à ce que celle-ci soit terriblement dure et à son goût. Puis il la giflait violemment du plat de sa main.
    
    - Je vais te faire la totale, grosse salope, tu vas être sage et tu me laisseras faire tout ce que j’exige de toi !
    
    Cet homme défaisait la braguette de son pantalon et prenait dans sa main son sexe lourd et circoncis, un sexe brun et épais parcouru par une veine très visible. Il se ...