La convocation- 2/2
Datte: 01/04/2024,
Catégories:
ff,
fff,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
chantage,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... effort dont elle doutait d’être capable et qui pouvait s’avérer néfaste … alors qu’il était si simple d’accepter, si facile de se laisser guider… et si agréable aussi, lui murmura une petite voix intérieure.
Une nouvelle remarque de la Directrice la tira de son indécision.
— Il me faut encore vous ennuyer un petit peu, ma chérie. Pardonnez-moi, mais je dois examiner de face votre charmante anatomie féminine. Mais je ne peux pas non plus vous laisser dans cet état là, toute mouillée comme vous êtes ! Non, non, restez ainsi pour le moment, je vous prie, acheva-t-elle en voyant Chantal s’apprêter à se retourner.
Et, appuyant sur le bouton de son interphone, elle interpella sa secrétaire.
— Monique ? Pouvez-vous venir, s’il vous plaît ?
La porte s’ouvrit instantanément avant que Chantal ait pu deviner quoi que ce soit, comme si l’autre n’avait attendu que cette invitation pour venir contempler à son tour son postérieur largement exposé. Elle tenta de rabattre sa jupe pour cacher ses fesses et le reste, mais Catherine lui saisit le bras.
— Je vous ai dit de rester ainsi ! Vous avez besoin d’un brin de toilette, non ? Monique va s’en charger.
Celle-ci s’approcha pour considérer de plus près l’objet des soins réclamés, et s’étonna.
— Eh bien ! On peut dire qu’elle coule de la chatte, votre invitée, Madame !
Le son de la voix, un tantinet vulgaire et déplacée dans l’ambiance feutrée de l’Académie, incita Chantal à tourner la tête.
Monique était une ...
... grande fille entre trente-cinq et quarante ans, les cheveux blondasses et ondulés, dont les formes replètes étaient serrées dans une tunique chinoise noire qui recouvrait un pantalon gris. Le galbe généreux de sa poitrine tendit le tissu lorsqu’elle se pencha à hauteur des fesses exposées. Son nez se plissa en constatant l’âcreté des effluves qui s’exhalaient de l’entrejambes et elle ne put s’empêcher de faire à mi-voix quelques commentaires acerbes sur l’hygiène douteuse qui en était la cause.
Toutefois, elle se mit en demeure d’essuyer les débordements de cyprine qui maculaient l’intérieur des cuisses ouvertes et de passer une éponge imbibée d’eau de toilette entre les replis du sexe. Elle en profitait pour écarter sans ménagement le sillon fessier et les bords des lèvres qu’elle pinçait solidement entre ses doigts nus. La brutalité du traitement et la morsure soudaine du liquide alcoolisé firent japper brièvement Chantal qui en oublia presque l’humiliation de sa situation.
Catherine lui écarta très largement la raie des fesses d’une main décidée.
— Oui, ça ira comme ça, vous avez fait du bon travail, Monique. Mais restez un peu, je vous prie, il se pourrait que nous ayons encore besoin de vous. Quant à vous, Chantal, soyez gentille de vous mettre de face, poursuivit-elle. Monique, aidez-la d’abord à retirer sa culotte.
La grosse blonde s’empara de la lingerie qu’elle fit glisser sur les chevilles en ôtant également les chaussures au passage et remit aussitôt la ...