1. La convocation- 2/2


    Datte: 01/04/2024, Catégories: ff, fff, fsoumise, fdomine, humilié(e), chantage, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... culotte tachée à la Directrice, comme si la chose avait été prévue à l’avance. Elle accompagna ensuite Chantal dans son mouvement en passant un bras secourable sous ses reins pour lui permettre de s’installer selon les indications données : les coudes en appui sur le haut du canapé, les fesses au bord du dossier et les cuisses à l’horizontale, les pieds bien à plat sur les coussins du siège, assez écartés pour que les genoux soient largement ouverts.
    
    Ainsi disposée, Chantal fut invitée à retrousser sa jupe sur sa poitrine afin d’offrir son pubis à la dernière vérification souhaitée par ses examinatrices. Sa motte mal taillée et ses lèvres encore frémissantes de la petite toilette subie étaient de cette façon parfaitement visibles et accessibles. Elle luttait pour rester immobile, refréner la tentation de se clore et maintenir l’effort de ses muscles. Malgré l’assistance de Monique qui s’efforçait de la soutenir, la position lui était pénible à conserver, et plus encore l’exhibition éhontée qu’elle lui imposait.
    
    Le plus humiliant était sans doute que son ventre réagissait vicieusement. En dépit de sa gêne, ou encore une fois à cause de ce trouble, elle ne pouvait empêcher son orchidée de palpiter et de pleurer. La mousse onctueuse perlant sur les muqueuses de la fente éclose ne semblait pas rebuter Catherine qui lui sourit gentiment en approchant ses doigts du sexe. Chantal pensa fugitivement à sa gynécologue qui arborait la même expression rassurante avant d’étendre ...
    ... grassement le gel pour faciliter l’intromission du spéculum.
    
    La Directrice posa les pouces sur le bord des lèvres pour les écarter, mais elle dut s’y reprendre à plusieurs fois à cause de la peau devenue glissante.
    
    — Ne bougez pas, s’il vous plaît, et surtout ne vous crispez pas ! Maintenez-la mieux, je vous prie, il faut l’empêcher de fléchir les reins, dit-elle à Monique.
    
    Celle-ci proposa tout simplement de passer derrière le canapé pour procéder plus facilement et se pencha par-dessus le corps à demi nu pour lui empoigner carrément les fesses. Chantal se sentit enveloppée par l’odeur raffinée de la jeune femme dont le ventre se pressait contre sa tête. Sa vision était en partie masquée par les contours précisément dessinés de la gorge opulente qui dansait mollement devant son nez.
    
    Des effluves mêlés, où les exhalaisons de la peau le disputaient aux fragrances du parfum, envahissaient ses narines et accentuaient son émoi de savoir ses parties intimes exposées en gros plan. C’était une situation étrange : elle avait conscience d’en être le centre d’intérêt, mais n’arrivait pas à se persuader d’être réellement concernée par la plus élémentaire pudeur. Bien au contraire, elle s’y complaisait dans un plaisir pervers.
    
    Les mains de Catherine reprirent leur travail d’exploration, la paume comprimant doucement l’intérieur des cuisses pour dégager le pli de l’aine, les pouces repoussant le bourrelet des grandes lèvres et les index appuyant de plus en plus fortement sur ...
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