Le parfum de l'interdit - Histoires de Sexe

Le parfum de l'interdit

... boxer. Je toque une nouvelle fois et lui demande :

— Je peux entrer ?
— Bien sûr ! me répond-il d’un ton enjoué.

Lorsque j’entre, il est là, quasi nu en boxer. Il me sourit. Je m’arrête un instant, déglutis puis m’approche. J’ai les jambes en coton, j’ai peur de perdre l’équilibre, je perds le sens de moi-même. Lui s’assoit sur le banc, sûr de son fait, et attend que je parcoure les cinq mètres qui nous séparent.

Je me rends compte que je mouille : de peur ou d’excitation ?

Je me trouve debout face à lui, il est provocateur, il affronte mon regard sans aucune gêne, le sourire aux commissures des lèvres. Un silence s’installe, je prends conscience de l’instant, me mordille les lèvres. Il n’y a plus aucune ambiguïté possible, je suis là pour ça ! Je le veux !

« Y en a une que j’aimerais faire gueuler… C’est ta mère ! »

— Tu as raison, j’en ai envie ! lui dis-je.

On ne peut pas être plus directe. Je ne me reconnais pas. Puis, je m’agenouille tandis que lui s’est relevé, je prends l’initiative de baisser son boxer et je peux enfin voir, sentir puis toucher l’objet de mon fantasme, j’en reste scotchée, bouche bée… devant moi se tient une queue d’une dimension exceptionnelle !

— Mon Dieu, Kevin, tu as une bite magnifique !

Je suis comme subjuguée devant une grosse bite bien large avec de très belles veines, un prépuce qui vient presque couvrir la totalité de son gland que je devine gros ! J’ai la bouche grande ouverte, les yeux rivés devant cette ...

... colonne qui commence à se dresser, mon cœur tambourine, et dans ma tête, c’est une explosion, je crois que je tremble.

Je m’en saisis, ma main n’en fait pas le tour ! Kevin gémit lorsque mes doigts viennent au contact de cette peau si douce et si chaude. Je commence un mouvement de va-et-vient, de bas en haut. La rigidité s’accentue, et j’approche inexorablement mon visage de son pieu, je suis si proche que je peux sentir le parfum de sa virilité, je frotte ma joue, je l’entends murmurer :

— Oui, c’est ça… Julie…

Je lui donne de doux baisers, d’abord le long de sa hampe, puis je le décalotte et découvre un gros champignon en guise de gland ! Je dépose un baiser plus appuyé sur la pointe de son gland. Il bande à mort, sa bite est ultra-tendue et je reste interdite, stupéfaite par la taille de ce monstre, elle est encore plus grosse que dans mes rêves ! Je n’ai jamais vu et eu l’occasion de jouer avec une telle batte !

Visiblement impatient, mon étudiant me tient la tête et l’appuie en direction de sa queue. Il n’a pas besoin de me forcer, j’ouvre grand la bouche, engouffre cette énorme proéminence dans le gosier, et commence une danse interdite entre une prof et son élève ! Je lui réserve la plus bonne fellation que j’ai en magasin !

Je le lèche comme on le ferait d’une bonne glace, depuis le frein jusqu’à ce gros gland qui s’enfonce doucement dans ma gorge, je suis complètement remplie, la bouche pleine, la mâchoire ouverte à s’en déboîter, je fais de mon mieux pour ...