Le parfum de l'interdit
Datte: 31/03/2024,
Catégories:
f,
fh,
fplusag,
jeunes,
extracon,
Collègues / Travail
école,
fsoumise,
hdomine,
odeurs,
ffontaine,
Masturbation
facial,
Oral
69,
fdanus,
coprolalie,
totalsexe,
prof,
Auteur: Melle Mélina, Source: Revebebe
... l’a pas choquée, mais plutôt intéressée… Alors que j’attends à ce qu’elle réfrène ce fantasme, elle me surprend en abondant dans le sens du« vas-y, ma cocotte, Paul ne te touche pas, alors… ».
Tandis que je donne cours, je revois, en pensée, Kevin en maillot de bain, la boursouflure qu’il a entre les jambes… Cette pensée devient obsédante ! Bien malgré moi, une chaleur m’envahit et les pensées érotiques me taraudent l’occiput.
Alors que je donne un cours de hand-balls aux secondes années, je sens ma petite culotte se mouiller, je me sens brûler de l’intérieur, une sensation si douce et dévorante qui me fait basculer dans un abyme.
J’en ai envie, j’ai envie de me faire prendre par le pieu de ce gosse, j’ai envie de ce pieu dans ma bouche… J’en rêve.
« Vas-y ma cocotte, Paul ne te touche pas alors… » Punaise, Charlène, tu ne m’aides pas sur ce coup-là !
Ce parfum de l’interdit m’enivre, j’ai des papillons plein le ventre, mon cœur s’emballe, ce désir devient incontrôlable.
Le cours terminé, une fois tous les étudiants sortis du gymnase, je cours aux toilettes pour me soulager(sexuellement) et entreprends de frénétiques caresses, je mouille comme une chienne en chaleur et je m’imagine avec Kevin. Je l’imagine me détrousser comme une salope, dans cette extase je commence à gémir et, comme je sais être seule dans le gymnase, que personne ne peut m’entendre, je peux me laisser aller et commence à crier :
— Oh ouiiii, Kevin ! Baise ta salope de prof ! Ouuuiiiii ...
... !
Une fois soulagée, je reprends un peu mon souffle et je suis résolue : j’en ai envie, je veux sa bite en moi ! J’ai envie de me faire pénétrer, pilonner par ce gamin ! J’ai envie qu’il me baise ! Et qu’il me fasse gueuler !
C’est décidé, samedi, après le cours, je vais me faire sauter par Kevin. Je suis résolue.
Les jours passent lentement, je suis impatiente et j’en suis au point d’échafauder un plan pour que ce que je désire le plus au monde se produise. Mon mari qui aurait pu, qui aurait dû éteindre l’incendie en moi, me laisse complètement indifférente.
Les nuits sont torrides, je me masturbe en imaginant ce môme me détrousser avec sa grosse bite, il me prend par-derrière devant tous les autres étudiants de l’université, devant les profs de la fac et devant ma famille ! Une fois l’incendie éteint, je m’endors paisible et sereine.
Enfin, « sereine » n’est clairement pas le mot, je me dégoûte de ses pensées si malsaines, mais un petit démon me susurre un tout autre son de cloche.
J’ai côtoyé ce gamin pendant quatre ans sans avoir ne fut-ce qu’une seule pensée et il a suffi d’une phrase entendue à la va-vite pour me retourner l’esprit… Je n’en reviens pas moi-même, et maintenant je mouille comme une ado emplie d’hormone et j’échafaude des plans pour un plan cul !
Charlène s’en amuse et me rappelle que je suis seule à fermer le gymnase le samedi midi après le cours des premières…
— Mais t’es dingue ou quoi ? T’es pas en train de me pousser à baiser ...