Le parfum de l'interdit - Histoires de Sexe

Le parfum de l'interdit

... chatte n’est plus humide, elle est trempée. Kevin gémit :

— Oh oui ! C’est bon ça ! T’es une bonne salope, ma p’tite Julie…

J’ai peur que nous soyons bruyants alors je n’ose pas trop parler, j’espère au fond de moi que tout cela restera silencieux… Apparemment, ce n’est pas la préoccupation première de mon amant !

— Tu la veux, ma bite ?

Je lui fais signe que oui, mais ce petit salop veut me l’entendre dire.

— Oui ? Tu la veux ? Dis-le !
— Je veux ta grosse bite, Kevin !

Le fait de le dire tout haut enlève le dernier rempart de lucidité, je me sens libérée d’un poids, je sens que je peux vraiment me laisser aller. Je ne veux penser qu’à moi et mon plaisir.

Je commence à lécher depuis les couilles en remontant tout le long de la hampe, comme on le ferait d’une grosse sucette, puis je l’embrasse, des baisers de plus en plus appuyés, puis je gobe son gros gland. Je ne l’ai jamais senti aussi gros, je dois écarteler ma bouche pour pouvoir l’englober. Je me retire et chuchote toujours dans l’espoir de ne pas réveiller le cerbère de la chambre d’à côté :

— T’as une putain de bonne queue Kevin ! Je me régale !
— Régale-toi, ma chérie ! Vas-y, suce bien ma grosse bite ! Ouais, c’est ça… Ouais, p’tite cochonne, tu vas prendre cher, tu vas déguster…

Kevin fait des efforts pour parler bas également, mais est-ce que ce sera suffisant ?

Puis de nouveau je m’empale sur son gland et commence des va-et-vient de plus en plus frénétiques, je lui fais une gorge ...

... profonde, mais j’ai vraiment du mal à l’absorber, il appuie sur ma nuque, je manque de m’étouffer, mais je ne veux pas lâcher l’affaire, je veux lui faire la meilleure pipe que j’ai en magasin.

Il m’attrape par le chignon, se retire, et commence à me gifler avec son membre. Je n’ai jamais été autant humiliée, mais il sait que c’est exactement ce que je désire. Il impose son rythme, il décide de tout. Parfois, il s’enfonce profondément jusqu’à toucher mes amygdales, parfois il pose son gros vit délicatement sur ma bouche pour que j’y dépose un baiser.

— Hhhhhmmmmm ! C’est bon !
— T’es une sacrée suceuse !

Je pourrais le sucer encore pendant des heures tant j’aime le goût de son corps, j’aime la douceur de sa peau, j’aime sentir son mât remplir toute ma gorge, je me délecte de lui et je continue de le pomper, de le lécher. Au bout de cinq bonnes minutes, je sens les premiers soubresauts, les spasmes de son monstre dans ma bouche. Il gémit de plus en plus fort, il va juter, il se raidit, je ressens une puissance incroyable émaner de son membre turgescent, il râle :

— OOOOOHHH, J’arrive… Ouvre bien la bouche, p’tite cochonne !

Je suis la bouche grande ouverte dans l’attente de ma rasade, il dépose son gros champignon sur mes lèvres, et :

— RRRRAAAAHHH ! Je jooouuuuiiisss !

Je reçois trois jets surpuissants de foutre brûlant coup sur coup dans le fond de ma gorge, je n’ai pas le temps de déglutir qu’il m’en envoie une autre sur le visage, je suis aspergée de ...