Le parfum de l'interdit - Histoires de Sexe

Le parfum de l'interdit

... puissance, la bête qui sommeille en lui vient de se réveiller, c’est un animal qui me fait hurler de plaisir et de nouveau les mots salaces remplissent la pièce comme les odeurs de nos corps et de nos fluides.

— Tu l’aimes ma queue ? Hein salope ? Tu l’aimes ?
— Ooh oui j’aime, arrgghh…. ta queueue, arrrggghh !
— C’est ça que tu veux, tu veux que je te défonce !
— Arrrggghhhh !

Maintenant, c’est moi qui maintiens mes jambes en hauteur, les cuisses bien écartées, nos visages se font face, il grimace de puissance, je grimace de soumission. On halète, on crie, je ne veux pas que ça s’arrête, mais s’il continue à ce rythme, il ne tardera pas à jouir à son tour !

— Oh bébé, prends-moi en levrette, lui dis-je !

Le temps de nous placer, nous retrouvons, lui comme moi, un peu d’air frais salvateur. Il se place bien derrière moi et flatte mon cul !

— T’as vraiment un cul de déesse !

Il ne peut pas s’empêcher de fourrer sa langue dans ma raie. Je n’ai pas l’habitude des caresses au niveau de l’anus, je suis vierge de ce trou et à ce moment précis, j’ai peur qu’il veuille m’enculer. Ça, il est en hors de question… J’ai trop peur.

Néanmoins, je n’ai pas vraiment le temps de réfléchir que déjà je sens cet énorme pieu me transpercer de nouveau. Je chavire, je perds le contrôle de mon corps et laisse ce gosse le labourer, ses coups de reins deviennent de plus en plus puissants, rapides et sauvages. C’est intense, je crie comme une dératée que j’aime ça ! Et lui ...

... m’insulte. Il me prend dans des positions qui m’étaient jusqu’alors inconnues, il semble connaître le Kamasutra par cœur. Il me fait découvrir des façons différentes de sentir son sexe à l’intérieur de moi pendant au moins une demi-heure, une demi-heure où je ne commande plus rien, où mon corps a pris les commandes avec la jouissance comme leitmotiv.

Le rythme devient endiablé, c’est un rodéo intense qui commence, mon corps n’est qu’une plume, un jouet dans les mains d’un Dieu de la baise. Il me prend dans toutes les positions, debout, sur le ventre, sur le dos, la tête à terre et les jambes en l’air, sur le côté, sur le sol, sur le lit. Depuis près de vingt minutes qu’il me laboure, qu’il me déchire, je crie, je ne cesse de crier,

— Oh, mon amour, c’est trop bon ! Je vais mourir !
— Tu la voulais ma grosse bite, hein ? Tu la voulais, et bin, tu l’as !

Je ne compte plus les orgasmes qui se sont succédé, je jouis, je suis sur sa queue, puis il me la met dans la bouche, je la lèche, elle a mon goût, je commence à m’y habituer et même aimer.

Puis, il me met sur le dos, resserre mes jambes et me déchire sans ménagement, je hurle :

— Oohhhh oooouuuuiiii ! Oh seigneur !

Je suis pleine de sa bite ! Parfois, c’est moi qui donne des coups de croupe, je suis sa chienne ! Je me fais saillir par un animal ! Je vais exploser de bonheur ! Tandis qu’il me perfore, il pénètre un doigt dans mon anus.

— Ohhh ouii, c’est bon !

C’est vrai, j’aime vraiment ce plaisir tout ...