1. Le parfum de l'interdit


    Datte: 31/03/2024, Catégories: f, fh, fplusag, jeunes, extracon, Collègues / Travail école, fsoumise, hdomine, odeurs, ffontaine, Masturbation facial, Oral 69, fdanus, coprolalie, totalsexe, prof, Auteur: Melle Mélina, Source: Revebebe

    ... baisée ! Je me sens possédée(dans les deux sens du terme, possédée par mon amant et possédée par un démon de la luxure), qu’est-ce que c’est bon, j’en avais oublié à quel point c’est bon !
    
    Il attrape ma queue de cheval et tire de sorte que je me cambre encore plus et ainsi, je ressens encore plus sa puissance ! Je ne gémis plus, je gueule ma jouissance ! Heureusement que nous sommes seuls ! et je jouis et je jouis ! Il me viole la chatte, j’aime ça et je me donne à fond !
    
    — AAAAHHHH KEVIIIINNN ! C’est trop bon !
    — Vas-y, gueule, ma chérie ! me dit-il en me perforant le vagin.
    — On m’a jamais aussi bien baiséééééeeeee ! AAAAAHHHHHH !
    
    Dans ma tête, j’entends : » Y en a une que j’aimerais faire gueuler… C’est ta mère ! » Mon corps est secoué par une tempête de spasmes, et à chaque fois qu’il se tend et se crispe, j’entends Kevin gémir. Je dois lui broyer la bite… Il augmente sa vitesse, je le sens se raidir, il est sur le point de jouir puis dans un cri partagé nous gueulons :
    
    — AAAARRRRGGGGLLLL !
    
    Il décharge, je sens tout son foutre me brûler les entrailles. Nos cœurs battent à l’unisson, c’est comme si nous venions de courir un marathon. Il a tout déchargé dans ma chatte baveuse. Il est resté en moi encore un moment, le temps pour nous de retrouver notre souffle. Un sentiment de plénitude m’envahit, nous avons savouré cet instant magique.
    
    Puis sa bite a finalement un peu dégonflé, lorsque nos corps se sont finalement détachés dans un grand bruit de ...
    ... succion, un ploc bien tonitruant, nous nous sommes regardés comme si nous venions de faire un rêve éveillé.
    
    Très rapidement, un sentiment de honte me submerge, je prends mes affaires et sors presque en courant des vestiaires. Chez les filles, je me rhabille doucement en me rendant compte de ce qui vient de se passer. La honte et la culpabilité m’envahissent, je ne sais plus quoi faire !
    
    Vent de panique, j’entends frapper à la porte :
    
    — Madame ? Ça va ?
    
    C’est Kevin, bien sûr… L’emploi du « madame » me donne un reste de contenance.
    
    — Oui, oui, Kevin, attends, il faut qu’on parle !
    
    De nouveau face à lui, il arbore un sourire de vainqueur, le triomphe dessiné sur le visage ! J’admets que cela a été un instant sensationnel, mais que cela reste une grave erreur !
    
    — Mais madame, moi j’aimerais encore vous faire du bien…
    — Kevin, tu es mon élève et l’ami de mon fils… Et tu n’as que dix-huit ans… Tu comprends ?
    
    Oui, il a compris, il fait maintenant une mine déconfite, mais il semble accepter. Je lui demande de me promettre de n’en parler à personne et encore moins à mon fils.
    
    — Je vous promets que je ne dirais à personne que nous avons baisé, que j’ai baisé ma prof, que je l’ai fait jouir et que vous êtes la meilleure suceuse du monde !
    
    Il me sourit puis ajoute :
    
    — J’suis pas un bâtard ! C’est promis.
    
    Soulagée, nous quittons enfin le gymnase, il est deux heures de l’après-midi. Puis comme un refrain revient la phrase de Kevin : » Y en a une que j’aimerais ...
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