1. Le placier, suite et fin


    Datte: 29/03/2024, Catégories: fh, fhh, candaul, grosseins, reconcil, Partouze / Groupe Auteur: Micchel1954, Source: Revebebe

    ... nôtre, je vis Joseph se déshabiller complètement, et tout nu se diriger vers le lit.
    
    Alors mon mari se retourna vers moi :
    
    — La Danielle, ça va être ta fête, tu vas t’en rappeler !
    
    En fait, à force de faire des trucs ensemble, ils s’étaient mis d’accord, pariant sur le fait que je n’allais pas faire l’effarouchée. Trop tard, Joseph se glissait déjà dans le lit et j’étais entre les deux qui éclataient de rire.
    
    Dépassée par les évènements, je ne savais ni trop quoi penser ni quoi dire ou quoi faire. Finalement, je ne fis que gémir, hurler et jouir. Cela dura des heures, ils s’encourageaient, les deux ensemble se relayaient, ils étaient complices comme pas possible. J’étais sur un nuage, même plus… dans les étoiles, et cela n’arrêtait pas.
    
    Au bout d’un moment, je revins à moi. Ils étaient tranquilles, mon mari m’embrassait, Joseph me caressait doucement la chatte, je ronronnais. Mon mari me chuchota à l’oreille :
    
    — Ça va, tu es heureuse ??
    — Oui, plus, ce serait trop.
    — Il n’y a pas de trop qui compte, ma femme adorée, le pire est à venir et cela va être maintenant.
    
    Ne comprenant pas trop, je vérifiai machinalement : le sexe de jean était très dur, très raide, celui de Joseph, idem ! L’émulation de deux hommes dans un lit avec une femme était terrible, cela décupla leur libido.
    
    Jean se mit sur le dos, m’invitant à venir sur lui, il me trouva facilement et se glissa en moi très profond, je sentis qu’il me tenait les fesses et cherchais à les écarter, ...
    ... Joseph était derrière moi et ce fut à ce moment que je compris qu’ils allaient me prendre tous les deux en même temps.
    
    Joseph dit :
    
    — Eh bien voilà, Danielle, tu vas être à nous, à nous deux, et on va tout te prendre parce que tu vas tout nous donner !
    
    Et déjà je sentais son gland chercher mon anus. Jean me tint fermement et dit à Joseph :
    
    — Vas-y Joseph, pas de cadeau !
    
    Des cadeaux il n’y en eut pas, il me défonça d’un coup et je me retrouvai avec un sexe dans la chatte et un autre dans mon cul. Ils se mirent en mouvement comme des larrons en foire, parfois les deux en même temps, parfois alternativement, je sortis de moi-même, je hurlai, je criai, je les traitai de salauds, je les encourageai, tout et n’importe quoi. Ils m’eurent, ils me possédèrent, je leur donnai tout, mon corps, mon esprit, mon cœur, et comme c’était un matin exceptionnel je les sentis arriver tous les deux, leurs bâtons qui me fouillaient. Je les sentis parfaitement durcir, encore et encore, et je sus qu’ils arrivaient. Je leur donnai un orgasme foudroyant alors que je les entendis hurler à l’unisson en me remplissant.
    
    Je ne compris pas trop ce qui se passa ensuite… j’étais revenue à moi, seule dans le lit, et je sentais leur sperme s’écouler de mes orifices doucement, c’était délicieux. En bas, des bruits de cuisines, de discussions, de grands éclats de rire, pour finalement entendre :
    
    — Danielle, si tu veux manger, c’est prêt.
    
    Je me levai. Quoi mettre ? Tiens, ce vieux jogging ...
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