Le placier, suite et fin
Datte: 29/03/2024,
Catégories:
fh,
fhh,
candaul,
grosseins,
reconcil,
Partouze / Groupe
Auteur: Micchel1954, Source: Revebebe
... faire un lit ce soir, tu peux dormir sur le canapé, il y a des couvertures partout.
Et, le regardant, je m’entendis dire avec une voix d’un autre monde :
— Si tu veux, tu peux dormir avec moi…
Et ce fut ainsi que l’histoire se fit. Évidemment, tous les deux dans un lit, on s’embrassa. Il fut timide et maladroit comme une première fois, mais ce fut très bien.
Le lendemain matin, au petit déjeuner, il était joyeux comme un gosse. On commença à plaisanter, je retrouvais l’homme jeune que j’avais aimé, de l’humour, l’esprit vif.
— Que faire de la journée ? Eh bien, viens avec moi à l’entreprise, Jean !
En route, je finis par lui dire.
— Tu sais Jean, c’était bien cette nuit, mais il faut que je te dise que j’ai un amant. Oh, juste un amant… Il est marié, mais je ne veux pas le perdre. On est de vrais amis, il m’a beaucoup aidée au début, tu comprends.
— Oui, oui, je comprends.
Et pour finir, je nommais Jean Directeur Général, et je prenais mes distances avec l’entreprise. Restant à la maison, Joseph passait de temps en temps me voir, sans s’offusquer que mon ex-mari soit de retour, au contraire, cela ajouta à sa libido, Il m’écartelait littéralement à chaque fois.
Une journée particulièrement chaude, Joseph venait de partir, mon mari arrivant, je mis ma main à mon sexe encore plein du sperme de Joseph et je la tendis à mon mari.
— Tiens, tu sais ce que c’est, sens !
Il comprit tout de suite… Il me catapulta sur le canapé, m’arracha mon ...
... pantalon, ma culotte, et se jeta sur ma chatte pour la manger, la lécher, il me mit en transe instantanément, je l’encourageai.
Il dégrafa son pantalon et m’enfourna direct. Il bandait fort, je ne l’avais jamais vu comme cela, un mâle, un taureau, endurant comme jamais il ne l’avait été. Il me fit jouir plusieurs fois.
— Alors Danielle, tu aimes ça le cul ? Tu aimes te faire baiser ?
— Oui Jean, j’aime cela. Vas-y, vas-y, je suis à toi aussi.
En me regardant avec un sourire, il m’embrassa et me dit :
— Je t’aime, Danielle, je t’aime comme cela, ne change rien !
Et il se répandit en moi.
Donc on finit par se remarier, à la mairie, et Jean connut Joseph, Joseph connut Jean… Et oui, le monde rural n’était pas si grand, ils devinrent même de bons copains. Mon mari, ce mec des villes se mit même à aller aux champignons, à la pêche, à couper du bois, à parler de passer son permis de chasse.
Un dimanche matin de bonne heure, je ne savais pas vraiment ce qui allait m’arriver, j’entendis une voiture dans la cour… Joseph entra dans la maison.
— Holà, il y a du café ?
Et je l’entendis farfouiller dans la cuisine… on ne fermait pas les portes dans ces pays.
— Habille-toi Jean, Joseph est là !
— Non, ne t’inquiète pas.
Ben si je m’inquiétais, c’était la première fois que mes deux hommes étaient à la maison ensemble ! Et le Joseph, il arriva dans la chambre avec un plateau et trois tasses de café, il but le sien d’un trait et le temps que Jean et moi bûmes le ...