La nuit électrique
Datte: 29/03/2024,
Catégories:
ff,
asie,
voiture,
autostop,
caresses,
Oral
69,
fdanus,
occasion,
lesbos,
Auteur: Come Sorel, Source: Revebebe
... aux frissons qui lui remontent la colonne vertébrale. Les doigts de Mathilde qui dessine ses grandes lèvres puis s’approche par cercles concentriques de son clitoris, cette manière qu’elle a d’esquiver puis de revenir vers le centre du plaisir.
Mathilde se penche vers elle et elles s’embrassent à nouveau pendant que la main se fait plus obscène, revient sans cesse maintenant sur ce clitoris et, qu’un doigt pénètre le sexe humide et doux puis deux et bientôt, comme des vagues atlantiques, de plus en plus fort, monte le plaisir.
La conductrice défait le bouton et la fermeture éclair du short et elles se désunissent quelques instants pour le faire glisser à son tour sur le plancher de la voiture. Puis, à nouveau, elles s’enlacent et les caresses reprennent. Mathilde soulève légèrement son bassin pour laisser le bras de la conductrice se tendre et la main rejoindre son sexe. Dans les poils noirs, de longs filets humides, un désir, une excitation vibrante.
Branle-moi. Branle ma chatte. Ces mots vicieux murmurés par Mathilde. Impudique. Impériale. Excitante.
De sa main gauche, Mathilde guide les doigts de son amante, les pose sur son clitoris et en fait pénétrer deux en elle.
Pendant quelques instants, elles voguent ainsi, leurs mains jouant sur leurs sexes et elles se regardent, les yeux dans les yeux et la nuit d’été n’entend plus que leurs soupirs amoureux.
Puis Mathilde se lève et se place tête-bêche au-dessus de la femme. Elle enfouit son visage dans les ...
... boucles blondes et de sa langue carnivore commence à agacer le clitoris, à jouer avec tandis que ses doigts jouent avec ses lèvres, la pénètrent et la caresse.
Pour la conductrice, au-dessus de son visage, un sexe de femme. Elle veut le prendre en elle, l’aspirer, boire ce jus mais elle n’ose pas et c’est encore Mathilde qui décide, qui rapproche son bassin comme pour lui dire qu’elle ne peut plus reculer.
Dans cette position, la conductrice pense aux contes libertins de la Fontaine et aux écrits de Sade, elle pense aux mots « foutre », « con » et « gamahucher » et ces mots du plaisir libertin qu’elle découvrait jeune lectrice, l’excitent encore plus. Ils n’ont rien à faire là mais ils vont et viennent dans son esprit au rythme de la langue de son amante.
Alors elle s’enhardit.
Elle écarte de ces deux mains les lèvres de Mathilde pour mieux atteindre son clitoris avec sa langue et elle goûte cette mouille abondante qui luit maintenant sur sa bouche et son visage. Elle ne se retient plus et comme sa maîtresse (car c’est bien Mathilde qui mène le jeu) elle veut toutes les audaces. Elle mouille un doigt avec la cyprine et le fait remonter vers les fesses de Mathilde qui tend son cul pour l’accueillir et elle la pénètre et Mathilde soupire.
Et bientôt, il n’y a même plus de gestes, tout se perd dans le bouillonnement du plaisir partagé dans cette nuit d’été.
La lave du volcan. Un flot d’obscénités murmurées (Salope, branle-moi, branle-moi encore), et Mathilde jouit ...