Adeline, Yannick et Patricia
Datte: 28/03/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
couple,
alliance,
caresses,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fsodo,
diffage,
prof,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... vide. D’ailleurs, elle n’aimait que les stylos rechargeables qui lui faisaient des années, et en égarer un était presque un drame. Patricia bouffait stylos et crayons comme des bâtons de réglisse. Loin d’être moche, elle était très agréable à regarder sans être une beauté de magazine. Pourtant, la comparaison m’amenait à lui trouver quelque chose de vulgaire sans trop savoir quoi exactement. Sa tenue vestimentaire peut-être, ce vieux gilet rose et son invariable jupette noire, ou ses savates qui traînaient le sol de pièce en pièce.
Adeline était toujours impeccablement vêtue et, étant petite, portait toujours des chaussures à talons ou, à la maison, des mules à semelles compensées. Elle se tenait très droite aussi, alors que Patricia, beaucoup plus grande, avait tendance à s’avachir un peu. Peut-être était-ce aussi ce manque de peau au niveau du cou qui faisait que, lorsqu’elle levait la tête, la peau suivait le menton et se tendait depuis la base du cou de façon assez disgracieuse, au lieu de dessiner la mâchoire. Bref, je ne parvenais pas à une réponse précise, mais en plus cette impression me la rendait paradoxalement encore plus tentante, excitante, désirable, accessible.
Avachie devant son écran, la chaise un peu reculée, elle était en appui sur un coude, tenant le stylo qu’elle rongeait, l’autre main sur les genoux. Tiens, que faisait l’autre main ? Je laissai tomber un stylo négligemment sous le bureau, histoire d’aller voir. Bingo ! Sa main gauche avait ...
... ramassé le bas de sa jupette en chiffon et caressait tranquillement son pubis à travers la dentelle d’une culotte que je reconnaissais. Cette vision fugitive me mit en émoi et je me mis à bander. Ça devait l’aider à réfléchir, mais ça et le stylo mâchouillé, j’imagine l’interprétation psychanalytique. Malgré tout, je me donnais mentalement une claque monumentale, un angelot me criant « tu n’as pas honte, c’est ta belle-fille » alors qu’un petit diablotin ricanait « oui mais c’est bien elle qui t’a taillé une pipe monumentale » ! C’est dur la vie des fois, je suis sorti faire un tour en remâchant mes contradictions.
Ce qui devait arriver…
L’été vira à la canicule, on cherchait l’ombre et la fraîcheur. On ne travaillait plus que tôt le matin ou à la nuit tombée, préférant faire une sieste en milieu de journée, dans le souffle des ventilateurs et à l’ombre des volets clos. Patricia me déclara un jour :
— J’en aurais bien profité pour prendre le soleil, tout de même. Je suis blanche comme un cachet d’aspirine et le soleil fixe la vitamine D.
— Bien, vous retenez ce que vous apprenez, parfait. Faites comme bon vous semble.
— Oui mais…
— Mais quoi ?
— Ben… J’aurais voulu faire une bronzette intégrale, avoua-t-elle timidement…
— Pas de soucis, installez une chaise longue par-là, sur le côté. Vous êtes coincée entre la maison, le mur de clôture, la haie et le gros massif d’hortensias.
— Oh oui, super.
— Et n’oubliez pas de vous enduire de crème, sinon votre peau va y ...