1. Adeline, Yannick et Patricia


    Datte: 28/03/2024, Catégories: fh, hplusag, couple, alliance, caresses, entreseins, Oral pénétratio, fsodo, diffage, prof, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... rester.
    
    Elle partit s’installer dehors, je commençais à m’assoupir, vautré sur le canapé, en regardant je ne sais quelle sottise à la télé qui me berçait. Mes paupières à demi fermées enregistrèrent une élévation subite de la lumière qui me tira de ma torpeur. La longue silhouette de Patricia se dessinait en contre-jour sur la porte-fenêtre. Je ne vis pas tout de suite qu’elle était nue comme un ver.
    
    — Vous voulez bien me passer de la crème dans le dos ?
    — Bien sûr, répondis-je en sentant ma virilité faire des bonds dans mon boxer et unique vêtement, se moquant pas mal de mes résolutions.
    
    Je commençai par les épaules, elle restait stoïque. Puis il fallut bien descendre plus bas et palper ce corps sculptural jusqu’à la taille, puis aux fesses que je pétris longuement. Je m’accroupis ensuite pour oindre l’arrière de ses cuisses, le nez à hauteur de sa féminité dont il me semblait percevoir l’enivrante fragrance mêlée au parfum de la crème solaire. Elle écarta les pieds et se cambra un peu plus, ouvrant à mes mains l’intérieur de ses cuisses que j’enduisis également. Par mégarde, un geste un peu trop brusque porta ma main jusqu’à sa vulve soigneusement épilée.
    
    — Oh pardon…
    — Pas grave, je survivrai.
    
    Je me redressai avec le sentiment du devoir accompli, mais elle fit demi-tour et se campa, ses gros seins en avant dans une attitude provocatrice, les yeux mi-clos.
    
    — Vous voulez que je fasse devant aussi ? questionnai-je, inquiet.
    — S’il vous plaît, c’est ...
    ... tellement meilleur quand c’est vous qui le faites.
    
    Je repris aux épaules, fis les bras pour retarder ce moment fatidique où je devais caresser ses seins. Mais il fallut m’y résoudre, elle attendait, tête levée, yeux clos. J’entrepris de douces caresses circulaires et arrivais aux pointes. Elles se dressèrent soudain comme deux cobras, tirant avec elles une partie des aréoles sombres, gonflées comme deux demi-macarons. Je repris de la crème et insistai sur ces bouts sensibles qui roulèrent sous mes doigts. Elle respirait plus vite, mon polichinelle parvint à repousser l’obstacle de la ceinture élastique et à montrer sa tête apoplectique, me procurant une délicieuse mais douloureuse sensation de pénétration sèche.
    
    — Encore, murmura-t-elle dans un souffle, c’est trop bon. Et puis comme c’est plus foncé, c’est plus fragile et plus sensible au soleil.
    
    J’insistai donc et m’enhardis, pressant les globes de mes paumes et triturant les tétons entre pouces et index. Sa bouche s’ouvrit pour prendre plus d’air, sa tête se rabaissa pour me regarder avec cet étrange sérieux et ce regard déjà perdu qu’ont certaines femmes lorsqu’elles s’abandonnent. Une de ses mains prit mon poignet et porta ma main entre ses cuisses, alors que le revers de son autre main palpa ma protubérance. Ce faisant, nos bouches se rapprochèrent, nos souffles rapides se mêlèrent et nos lèvres se touchèrent. Ce fut le signal du départ pour qu’un maelström de désir nous emporte soudainement avec une violence inouïe. ...
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