Adeline, Yannick et Patricia
Datte: 28/03/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
couple,
alliance,
caresses,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fsodo,
diffage,
prof,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... attend que ça passe…
Est-ce Yannick qui avait ramené ça de Roumanie ? Peu importait, j’étais incapable d’aller travailler, pire, je risquais de contaminer toute l’école. Un après-midi, j’étais couché sous une couette épaisse et pourtant je grelottais, je claquais des dents. Le thermomètre monta au-dessus de quarante. Patricia m’apporta un troisième comprimé avec un verre d’eau que j’eus bien du mal à boire, tremblant comme une feuille et souffrant le martyre pour porter le verre à ma bouche. Elle était très ennuyée, et moi je répétais sans cesse, un peu dans le cirage, « j’ai froid… j’ai froid ». Après avoir dandiné quelques minutes d’un pied sur l’autre, cette grande fille détacha les boutons de son gilet, posa tous ses vêtements et se glissa sous ma couette, s’étendant de tout son long sur mon corps enfiévré. Sa tête glissée contre la mienne, ses gros seins écrasés sur ma poitrine, son ventre contre mon ventre, ses longues jambes croisées sur les miennes. Petit à petit, la douce chaleur de son corps m’envahit et mes tremblements cessèrent. Dans le brouillard de mon délire, je ne savais plus qui était sur moi, peut-être Adeline qui venait de jouir après une cavalcade « de chamelier » dont elle avait le secret. Peu importait, j’étais bien, si bien. Ce doux et chaud corps de femme réveilla en moi des réflexes depuis longtemps oubliés et je me mis à bander comme jamais, le sexe douloureusement coincé dans sa position de repos sous le mont de Vénus de mon édredon vivant. Elle ...
... le sentit et souleva un instant le bassin, que ma bestiole puisse se déployer. Je mis mes mains sur des fesses mal identifiées et m’endormis, apaisé. C’est Patricia qui me réveilla en se soulevant doucement pour se lever. C’est drôle, je bandais encore et nous étions collés par la sueur. Je la vis s’extirper nue du lit en essayant de ne pas m’exposer à l’air froid, puis elle se dirigea, nue, vers la salle de bain.
—Bon sang, pensai-je, elle a vraiment un cul superbe et des jambes interminables.
Quand elle revint, nue toujours, malgré mon regard lourd de concupiscence, elle se rhabilla tranquillement.
— Ça vous a fait du bien, on dirait ?
— Oui beaucoup. Je me sens mieux. Mais vous m’avez mis dans un état…
— Oui, je l’ai bien senti. Mon pauvre, je crois que je serais bien cruelle de vous laisser comme ça.
Elle plongea alors sous la couette, agenouillée à côté du lit, et empoigna l’objet du délit. À tâtons, c’est le cas de le dire, ma belle-fille me fit l’une des plus belles fellations de ma vie. Tout y était, et à l’aveuglette encore. Petits coups de langue sur le méat, sur le frein, enroulements de la langue autour du gland, aspiration sans excès, agitation de la main bien serrée sur la hampe, massage des testicules, la perfection. Je sentis le pied venir et grognai pour l’annoncer, elle avait senti aussi mais ne se démonta pas et absorba tout sans s’étouffer ni se plaindre. Je l’entendis déglutir et reprendre son souffle, puis elle entreprit le grand nettoyage ...