1. Le facteur - semaine 2


    Datte: 27/03/2024, Catégories: fh, fplusag, fagée, jeunes, gros(ses), grosseins, groscul, bain, campagne, Oral pénétratio, journal, occasion, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... plus fort !
    
    Elle me déconcentrait, elle jouait faux, on aurait dit une mauvaise actrice porno. Cela m’agaça, puis m’énerva et finalement je me mis en colère et je criais moi aussi en lui mettant de grandes claques sur le cul, flap flap flap splatch !
    
    — Tais-toi, grosse salope ! Ferme-la ! Laisse-moi te baiser en silence, vieille pute !
    
    Aussi incroyable que cela puisse paraître, j’ai hurlé ces horreurs. Je ne me reconnaissais pas. C’était sale et moche mais excitant au possible. D’ailleurs, cela nous a fait de l’effet à tous les deux, parce qu’elle s’est tue et mise à gémir comme une bête qu’on égorge et moi, je me sentais comme un homme préhistorique et je claquais son cul et je la tamponnais. Aussi, quand elle a hurlé :« Je jouiiiiiis !! », je me suis vidé en elle comme une pompe à incendie pour éteindre son feu, de grandes giclées de sperme chaud au fond de sa fournaise, du sperme comme je n’en avais jamais produit, pendant de longues minutes.
    
    Quand j’ai repris mes esprits, j’étais toujours debout, la bite dégoulinant encore et elle, elle avait remis sa jupe en place et elle me servait mes œufs sur une vieille assiette décorée avec des petites fleurs bleues.
    
    — Allez, mange, mon petit. Tu as besoin de reprendre des forces.
    
    J’étais affamé. Je me suis assis à table et j’ai dévoré, sans la regarder, ni lui parler. Elle était debout à côté de moi et me passait de temps en temps sa main dans les cheveux, doucement, un peu maternelle. Cela m’agaçait à nouveau ...
    ... mais je ne pouvais rien dire.
    
    Quand j’eus fini, elle m’apporta du fromage et je mangeai encore comme un ogre. Je bus ensuite un café. Le silence devenait épais entre nous, j’aurais voulu le rompre mais je n’avais aucune idée de ce que je pourrais lui dire. Finalement, je me levai pour partir et comme je m’approchai de la porte, elle m’arrêta en posant sa main sur mon avant-bras.
    
    — Antoine, je te demande pardon. Je t’ai attiré là et je sais que tu n’en avais pas envie mais tu m’as fait beaucoup de bien, tu sais. Je voudrais que tu reviennes. Quand tu voudras, pour faire ce que tu voudras. Je serai toujours à ta disposition.
    
    Ce n’était pas ça que je voulais entendre. J’aurais préféré qu’elle se moque de moi, par exemple. Je ne sus pas répondre, alors je préférai poser une question.
    
    — C’était comme ça avec Henri ?
    — Ah, tu sais. C’est la Dolignon qui t’en as parlé. Henri était l’homme de ma vie. Il venait, il me prenait, il partait et moi, je ne faisais qu’attendre. Je l’aimais. C’était idiot, ça ne servait à rien mais je ne pouvais pas m’en empêcher. Il me traitait mal, il ne me parlait jamais gentiment mais je lui pardonnais tout et je me disais :« Un jour, il verra bien que c’est moi sa femme et pas l’autre frigide ». Mais non, ce n’est jamais arrivé. Et quand il est tombé malade, il a cessé de venir, c’est tout, sans me tenir au courant ni rien. Il a juste disparu. Je sais bien pourquoi, n’est-ce pas. Pour un homme, je ne suis pas présentable. Je suis bonne pour le ...
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