Véronique
Datte: 26/03/2024,
Catégories:
fffh,
asie,
extracon,
vacances,
Collègues / Travail
collection,
amour,
miroir,
caresses,
Oral
pénétratio,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... une partie est convertible en lit d’appoint, au cas où. Restez, je vous en prie. Vous êtes descendu où ?
— Au Grand Hôtel.
— Oh mon dieu. Et vous n’avez pas vu de cafards ? C’est sa réputation…
— Non, pas encore. Mais je vais y chercher mes affaires de ce pas.
— Parfait, moi je vais faire quelques courses pour le dîner. Magret de canard aux pêches, ça vous dit ?
— Ça me dit bien, en effet.
Je passe à l’hôtel, je prends une seconde douche en insistant bien sur Popaul qui va avoir de l’ouvrage et je plie bagage. Je tente un passage chez le menuisier, « aux Japonais absents » comme de bien entendu. Je rentre chez ma décoratrice qui est déjà dans son « bocal », en train de cuisiner. Elle m’invite à me servir un whisky que je sirote en l’attendant. Quand enfin la paroi de verre pivote, laissant s’exhaler des parfums de canard frit, le me dis que peut-être… en apéritif… mais non. Nous dînons sagement côte à côte, un plat ma foi délicieux, fromage, dessert, café… On dirait un vieux couple dans ses habitudes quotidiennes. Au point qu’ensuite c’est canapé et télé. Il faut une bonne heure de film, un Lelouch qu’elle adore, ça tombe bien, « Salaud, on t’aime » pour qu’enfin elle se vautre et pose sa tête sur mes genoux. Ayant une main dont je ne sais que faire, je la pose sur elle et caresse distraitement. Alors elle se lève d’un bond, pose sa robe et reprend sa place. Plus belle encore que ce que son vêtement laissait deviner. Je palpe et bande à tout va. Le film terminé, ...
... elle déclare :
— Je crois qu’il est inutile de déplier le lit d’appoint. Je vais me démaquiller…
Moi, je me déshabille et me glisse dans le satin blanc. Elle est enfermée dans le cylindre salle d’eau où elle a même une radio, dont elle force pudiquement le son quand elle va aux toilettes. Ablutions, lavage de dents, je suis tout en direct-live. Puis la petite perle arrive près du lit, fleurant bon le propre dans sa parfaite nudité et sa nudité parfaite.
— Oh ! Que vois-je ? Un mâle dans ma couche… Quelle aubaine !
Elle glisse sa beauté sous la couette, puis se glisse sur moi, commence par des petits bisous, des gros baisers, et les petits bisous reprennent en descendant lentement, cou, tétons, nombril. Quand elle parvient au pénis, du gland aux testicules et inversement, la couette glisse et tombe. Alors qu’elle m’embouche avec délice, les miroirs de l’armoire me renvoient l’image de son popotin complètement replié entre ses talons, largement ouvert, une vulve déjà gonflée entre les parenthèses rousses de sa touffe. Sublime. Toutes les femmes ont cette manie de révulser les yeux pour voir notre plaisir quand elles nous gobent, mais elle trouve mon regard égaré dans le lointain d’une autre image que sa bouche sur ma queue. Elle jette prestement un coup d’œil par-dessus son épaule et aperçoit ce qui me fascine.
— Oh le coquin ! Il est en train de se rincer l’œil. Décidément, c’est bien mon cul qui vous attire.
— Il est tellement beau, tellement désirable. Si vous ...