Véronique
Datte: 26/03/2024,
Catégories:
fffh,
asie,
extracon,
vacances,
Collègues / Travail
collection,
amour,
miroir,
caresses,
Oral
pénétratio,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... et je viens, comme disait Gainsbarre, avec des mouvements qui s’amplifient très progressivement tout en veillant bien à ce qu’aucune douleur ne la trouble. Elle respire fort, mais tient le choc. En quelques minutes, je suis en elle comme dans son vagin délicat, comme chez moi, en pleine progression dans le plaisir.
— Oh oui… oui… oh oui, oh, mais c’est bon, s’étonne la Madame.
Et de se triturer les pointes à pincements redoublés. Je ramone bien la petite boule surgonflée et sa source coule à plein régime. J’aurais voulu terminer en levrette, mais… ce sera pour demain, nous sommes trop bien partis sur les rails de l’orgasme.
— Rhaaa ! C’est bon, s’écrie-t-elle d’une voix rauque. Allez-y ! Encore ! Je vais venir…
— Moi aussi, c’est trop bon…
Le mot qu’il ne fallait pas dire, ça la fait partir presque instantanément. Le corps arqué, les jambes se lançant pour entraîner son bassin vers mon dard, nous nous heurtons avec violence une bonne douzaine de fois. Mais ses contractions sont telles que ma queue martyrisée ne peut résister à ce traitement, les glaives de l’orgasme me transpercent les reins et de longs jets brûlants jaillissent dans son boyau. Elle hurle à la mort, je rugis comme un fauve. Dommage, mais pas de temps à perdre si je ne veux pas choper une infection urinaire, il ne faut pas rester dans le domaine privilégié des Escherichia coli et vite aller me laver. Mon départ précipité provoque une catastrophe : toute ma liqueur, plutôt café au lait que blanc ...
... nacré, ressort d’un coup et va cartonner la moquette et le dessus de lit. Elle rouspète, glapit, mais le mal est fait. Je me douche activement quand elle entre à son tour dans le réduit bleuté et se pose sur les toilettes. Je suis désolé et lui explique pourquoi cette précipitation.
— Bah, ce n’est pas grave. Encore un trophée de notre relation. Vous marquez votre passage, vous !
Elle n’a qu’un pas à faire pour venir me rejoindre sous la douche. Je la savonne, elle me savonne, je lui douche le fri-fri et elle semble découvrir cette sensation. C’est un peu plus douloureux derrière, le savon a tendance à piquer un peu. J’ai toujours un baume apaisant dans ma trousse de toilette, qui calme des piqûres de moustiques aux petites plaies et autres rougeurs, j’en mets sur mon majeur et lui fourre en douceur dans la rosette. Puis on arrête de jouer, elle m’enlace et me serre contre elle encore une fois.
— Que je suis heureuse quand vous êtes là ! Méfiez-vous, je vais devenir amoureuse.
— Non, vous, méfiez-vous. Vous savez combien je suis marié et heureux en ménage, même à trois.
— Je sais, soupire-t-elle. Mais ça ne se commande pas.
— Je veux tout sauf vous faire souffrir.
— Un petit partage n’est pas envisageable ? Je ne suis pas exigeante ni possessive. Juste quelques miettes du gâteau…
— Je vous l’ai dit, rien n’est impossible, mais je n’en déciderai pas. Que voulez-vous faire maintenant ?
— Rien en position assise, soit debout, soit couchée.
— Alors, allons dormir. ...