1. Véronique


    Datte: 26/03/2024, Catégories: fffh, asie, extracon, vacances, Collègues / Travail collection, amour, miroir, caresses, Oral pénétratio, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... voilà un morceau, c’est épais et massif, ensuite il le poncera, puis il posera les plinthes assorties et il vitrifiera le tout. Et il refuse qu’on colle une bâche ou un nylon sur le parquet vitrifié de frais. Mais il en est malade, je vous assure.
    — Bon, comme ça tout le monde est content.
    — Pas trop le peintre. Il dit que s’il y a des défauts dans la finition, ce ne sera pas de sa faute.
    — Ce qui est vrai. Le reste a avancé un peu ?
    — Oui Monsieur. Le carreleur a tout fini. L’électricien a tout fini. Le plombier a tout fini. Pas mal ?
    — Oui, c’est bien. On va voir ce que ça donne ?
    — On va commencer par le second, si vous voulez bien.
    — Je vous suis.
    
    Nous prenons les escaliers et je la vois dandiner bizarrement, comme si elle s’était foulé une cheville ou froissé un muscle.
    
    — Vous vous êtes blessée ?
    — Non, souffle-t-elle en atteignant péniblement le palier du premier…
    — Un muscle froissé, trop de jogging ?
    — Non plus. Un Monsieur m’a demandé de me préparer au pire. Et monter les escaliers avec « ÇA », croyez-moi, ce n’est pas très confortable !
    
    Elle relève sa robe jusqu’à la ceinture, découvrant son adorable fessier, écarte un peu les jambes et se penche en avant. Elle n’a pas la moindre culotte. Un rayon de soleil couchant vient donner des éclats dorés à une petite pierre, fausse, évidemment, sertie sur un support rond sortant tout droit de son anus. J’éclate de rire, elle se redresse, écarlate.
    
    — Non… vous l’avez fait ?
    — Bien sûr. Tant qu’à faire, ...
    ... j’ai choisi le modèle appelé « bijou anal ». J’ai trouvé cela aussi bien que l’anneau de caoutchouc qui fait ressembler ça à une tototte, ou celui avec une poignée de fenêtre. J’ai dû également me passer de culotte parce que ça frotte et ça agace encore plus…
    — Attendez, ne rabattez pas votre robe, que j’en profite un peu.
    
    Je l’attire contre moi ainsi troussée, l’embrasse à pleine bouche, caresse ses hanches, ses fesses, vais titiller le « bijou » ce qui la fait doucement geindre et fais le tour pour titiller l’autre, le naturel, au milieu de sa touffe cuivrée, ce qui la fait geindre encore plus.
    
    — Rien que pour ça, ça valait le coup, me murmure-t-elle à l’oreille. Venez au second pour le coucher de soleil sur Chausey.
    
    Exact. Au moment où nous entrons dans « le baisodrome », le disque orangé plonge dans la mer au milieu des îlots. Elle se retourne déjà pour me montrer son œuvre.
    
    — Attendez, attendez…
    — Quoi ?
    — Le rayon vert, si on a de la chance…
    — Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? Du Jules Verne ?
    — Regardez bien le dernier moment… Là… Maintenant… OUI !!!!
    — Oh ça alors… Ce n’est donc pas une légende. Je n’avais jamais vu.
    — C’est souvent, ici. J’en vois trois ou quatre par an et j’en ai photographié plein.
    — Vrai ? Des photos de qualité ?
    — Nikon, douze mégapixels.
    — Ça, si vous pouviez me transmettre les fichiers, j’en mettrais bien en vente dans ma boutique.
    — Pas de problème. Alors, voyons cette chambre.
    
    J’avais traversé la chambre sans ...
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