1. « Josy » : La petite salope enceinte part en vacances. Épisode 28


    Datte: 25/03/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... car je ne désirais pas lui dire que j’avais fait un bébé toute seule et lui répondit : « Ça ne peut-être qu’un accident. » En rentrant chez-moi, si j’avais des remords d’avoir trahi Philippe alors que je déménageais en Provence quinze jours plus tard, j’eus un gros doute. Cela faisait trois semaines et deux jours que j’avais couché avec mon petit lapin : « Me serais-je trompé dans mes calculs ? Et si ce n’était pas lui le père ? Tous mes souvenirs des jours précédents me revenaient à l’esprit. Tout d’abord, le soir au club libertin où Françoise m’avait invitée.
    
    Sans prendre en compte Daniel qui m’avait uniquement sodomisée et n’avait éjaculé qu’une seule fois dans ma bouche. Roland, René, Gaston, Michel et Patrick les cinq étalons choisis par ma meilleure amie pour leurs performances et pour la grosseur de leur attributs sexuels, avaient-ils à un moment ou à un autre, retiré leurs capuchons quand ils m’avaient baisée pendant plus de deux heures, à tour de rôle, puis en double pénétrations voire en triple, avant de m’envoyer une averse de sperme sur mon corps et mon visage. Même si j’avais joui énormément, restant dans un état second après mes orgasmes successifs, je m’en serais rendu compte. D’autant plus que ces hommes étaient des professionnels du sexe et se protégeaient.
    
    J’avais peine à croire qu’un d’eux puisse avoir agi de cette manière. Par contre, deux jours avant que Philippe vienne à la maison le samedi, le jeudi-soir après le diner me retrouvant seule, une ...
    ... forte envie de passer un moment agréable me tirailla le bas du ventre. Résidant en face d’un hôtel de la poste, renommé dans cette ville, je m’étais préparée puis j’allai au bar de cet hôtel où un vieil ami, Étienne était le Directeur. Ce soir-là, les clients n’étaient pas très nombreux et très peu me plaisaient, mise à part peut-être, l’homme assis à l’angle du comptoir, à côté du poste téléphonique public. Ce jeune quinquagénaire, propre sur lui, la tête baissée sur son verre de scotch semblait morose et triste.
    
    Je m’étais également mise au comptoir de façon à l’avoir presqu’en face moi. Pendant la bonne dizaine de minutes à parler avec Denis le jeune barman, que je connaissais bien, l’homme que je fixais souvent, n’avait levé les yeux sur moi que deux ou trois fois sans plus, avant de replonger son regard sur son verre de scotch. J’étais prête à partir du bar, afin de changer de terrain de chasse, lorsque s’apercevant que je m’intéressais un peu à son client, Denis me dit : « Vous le trouvez bizarre. Je l’ai entendu tout à l’heure au téléphone, il a un eu problème conjugal, il noie son chagrin. »
    
    Ce qui me fit changer d’avis, j’enfilai mon costume de petite salope, je venais de trouver le moyen de l’approcher. Je changeai de place et pris le tabouret voisin au sien et engageai la conversation : « Vous êtes aussi triste que moi, à ce que je vois. » M’adressant à lui, ce type tourna la tête et me regarda. Je continuai donc en disant d’un air mélancolique : « Mon mari m’a ...
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