« Josy » : La petite salope enceinte part en vacances. Épisode 28
Datte: 25/03/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... se finissait par une sodomie où il pouvait se vider dans mon rectum : « Non mon lapin vas-y continue. » Philippe ne s’était pas posé de question, il me ramona un instant et m’envoya toute sa semence. Nous étions restés un long moment l’un sur l’autre à nous embraser, j’avais encore sa verge dans mon vagin.
Lorsqu’il retira sa queue ramollie encore toute luisante et se leva, je restai couchée encore un bon quart d’heure, pendant qu’il était parti à la cuisine préparer le café. En apportant le plateau, je le regardais souriant et épanoui. Je prenais conscience de ce que j’étais en train de faire, quelque part je m’en voulais. Je venais de faire probablement une grosse erreur. Je savais bien que j’étais en pleine ovulation et pourtant, je lui avais demandé de faire jaillir son sperme à l’intérieur de ma fente afin de tomber enceinte et j’avais tout fait pour y parvenir.
Je me souviens encore de ses mots lorsqu’il était parti le soir après sa journée de travail, lorsque je lui avais confirmé la date de mon départ et de mon déménagement prévu le lundi 12 octobre 1987 : « Comment, je vais faire sans toi ? Tu vas vraiment me manquer. » — Rassure-toi mon lapin, nous avons jusqu’au 11. N’oublie pas de passer demain matin ?
Je désirais vraiment avoir un enfant de Philippe, j’avais trois jours pour avoir plus de chance d’être fécondée. Après l’avoir décidé à passer le dimanche matin, ayant l’excuse de finir les travaux chez-moi, nous avions encore fait l’amour le lundi-soir ...
... lorsqu’il quitta son travail. Lui n’avait pas compris mon envie soudaine de baiser ainsi avec lui. Cependant comme Isabelle n’était plus trop portée sur le sexe depuis la naissance de sa fille, je lui avais dit : « Tu sais comme je suis, c’est mon côté petite salope. Je te promets que je ne t’ennuie plus. Embrasse ta famille pour moi. »
Lorsque nous étions partis au soleil à Perpignan, après la première semaine où visites des villages pittoresques, longues excursions dans la montagne et petites randonnées en Espagne étaient notre quotidien, je n’avais pas du tout l’intention de les suivre la deuxième. Après huit jours sans avoir eu un homme pour m’apporter du plaisir, ça commençait à me démanger, d’autant plus que je ne cessais de penser à Philippe. Entre mon petit déjeuner sur la terrasse de l’hôtel, ou lors de ma longue balade sur la plage en fin de matinée, et au déjeuner pris dans une paillote vers treize-heure, je n’avais rencontré que des personnes âgées, seuls ou en couple.
Mis à part le jeune serveur qui m’avait bien plu, je n’avais rien à me mettre sous la dent. Je comptais sur mon bain de soleil sur le sable chaud et mes petites baignades de l’après-midi, pour trouver enfin un type qui me plaise enfin. Là encore, j’avais fait chou-blanc, comme je n’avais pas encore eu ces fortes pulsions sexuelles qui parfois, me faisaient choisir le premier venu, j’attendais donc cet inconnu qui pouvait éventuellement me faire rêver. À la soirée dansante accompagnée de ma mère ...