1. « Josy » : La petite salope enceinte part en vacances. Épisode 28


    Datte: 25/03/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... coulissa facilement, j’étais trempée, je recommençais à gémir en écartant mes cuisses un maximum afin qu’il puisse me bourrer le plus loin possible. J’ondulais mon bassin au rythme de ses coups de reins, l’agrippant par fesses. Il accéléra la cadence, recevant au plus profond de ma chatte par intermittence, cette queue nerveuse et dure comme de la pierre. Mes cuisses tremblèrent et mon ventre se souleva sous les spasmes de ma jouissance et mes cris résonnèrent dans les rochers.
    
    Il se retira alors, enleva la capote et vint entre mes deux seins, pour se finir avec une petite branlette espagnole puis ne tarda pas à éjaculer sur ma poitrine. J’en avais reçu partout, jusque sur mes lèvres. En panne de préservatifs, je lui dis : « Je serais bien restée à me faire défoncer la petite rondelle. Tout ça c’est de ta faute. » Nous avions pris un petit bain et il me raccompagna à l’hôtel. Étant très pressé, il se sauva en s’excusant. Désirant le revoir, le lui dit avant qu’il ne parte : « N’oublie pas les capotes demain. » Malheureusement, Christian m’avoua à cet instant qu’il était marié et qu’il rentrait sur Marseille le soir même.
    
    Après cette aventure sans lendemain avec Christian, ça m’avait fait réfléchir, une fois n’est pas coutume. J’avais compris une chose : me méfier désormais des hommes. J’en avais plus qu’assez de vivre au jour le jour, en baisant avec des inconnus uniquement pour mon propre plaisir. Je décidai de mettre définitivement mon costume de petite salope au ...
    ... placard. Il était temps pour moi d’en trouver un vrai, un célibataire qui m’aime pour moi et non pas pour mon corps, afin de fonder une famille. Je me demandais s’il fallait vraiment que je quitte la région où j’avais ma famille, mes amis et toutes mes connaissances.
    
    J’avais peur de m’ennuyer dans ce hameau isolé, perdu sur le flan de la colline où se trouvait qu’une dizaine de villas neuves pour la plus part. Devais déménager ? Là était la question. Cet endroit était magique pour des vacances d’été mais qu’en serait-il d’y vivre toute l’année ? J’appréhendais le futur, ayant travaillé très tôt, et ayant des journées bien remplie comment allais-je passer mon temps ? La dernière fois que j’étais allée à un cours de poterie, j’étais partie le soir baiser avec le formateur dont je ne me souviens plus de son prénom.
    
    En revenant de congé, j’étais très impatiente de savoir, j’attendais mes règles en espérant qu’elles n’arrivent pas. Deux, trois jours de retard, puis quatre, toutefois, mon cycle n’étant pas souvent régulier, j’attendais encore avant de me réjouir. En ayant quelques petits symptômes, comme mes seins gonflés et sensibles et quelques bouffées de chaleur, après plus d’une semaine de retard, le lundi 21 septembre, mon médecin Jean-Charles me fit faire un test urinaire. Celui-ci m’annonça avec stupeur que j’allais avoir un bébé : « Tu dois être enceinte de quatre semaines environ, qui est l’heureux élu ? »
    
    J’avais caché ma joie et n’avais pas parlé du jeune peintre ...
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