1. Domestiqué


    Datte: 23/03/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... jamais vu cela. J'essayais de la lécher comme elle semblait le souhaiter mais elle utilisait ma tête comme un coussin pour se caresser, et je le senti se raidir en m'aspergeant le visage, avant de retomber épuisée, enfin dans le fauteuil, moi à ses pieds essayant de retrouver mes esprits.
    
    « Bien je crois que vous avez bien trouvé votre place chacun, esclave tu lui obéis aveuglément, sauf si un ordre est en contradiction avec le mien, tu m'appartiens, c'est clair Sylvie?
    
    - Oui Elisabeth, c'est très clair, je serais ton bras armé au travail
    
    - Et plus peut être si tu as envie d'aller plus loin?
    
    - Je crois oui dit Sylvie en riant, totalement abasourdie par sa réaction.
    
    - Bon tu m'as donné envie, esclave donne-moi ta ceinture, penche-toi sur ton bureau, les fesses bien soulevées. »
    
    Comprenant ce qui allait m'arriver dans mon bureau, je ne fis rien pour m'y opposer, et remis la ceinture à ma Maîtresse, totalement nu, et je du compter les coups qu'elle asséna avec une force me coupant le souffle à chaque fois. A 100 coups, j'étais passé dans un autre état, comme en ébriété, sentant la douleur atroce mais la ressentant avec plaisir, mon pénis essayant inutilement de gonfler.
    
    Ma Maîtresse fatiguée donna la ceinture à Sylvie qui prit le relais, bien plus maladroitement, et m'en asséna 100 de plus. Mes fesses n'étaient plus qu'une plaie très douloureuse, je ne pourrais pas m'asseoir sans doute de la journée. Je dus les remercier toutes deux en embrassant leur main puis leur pied. Maîtresse pour montrer à Elisabeth me fit lécher ses semelles de bottines qu'elle voulut nickel. J'étais dégouté mais l'idée même de me reprendre m'avait quitté, et je découvrais que sans doute à jamais, j'avais perdu le contrôle, j'étais paniqué, mais en même temps je me disais que plus rien n'avait d'importance, que j'étais mort, que je pouvais enfin commencer à vivre ma vraie vie.
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