Domestiqué
Datte: 23/03/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... matière.
- C'est comme cela que tu salues? A genoux mon esclave et plus vite que cela, tu embrasses mes chaussures et tu ne te relèves que quand je te l'ordonne, avec interdiction de croiser mon regard, tu n'es qu'une merde, et une merde ne regarde pas une femme comme moi. Compris?
- Oui Maîtresse mais Sylvie... Une claque monumentale arrêta ma phrase.
- Où que ce soit, dans quelque circonstance que ce soit, tu te mets à genoux et tu m'embrasses les pieds, c'est compris?
- Oui Maîtresse, pardon Maîtresse, j'étais perdu et à genoux à ses pieds, les lui embrassant avec ferveur et un certain épuisement. Quelque chose lâchait en moi. Je ne me battais plus. Elle me laissa ainsi au moins 5 minutes avant de m'indiquer de me relever.
-
Elle me fit mettre debout, les mains dans le dos, interdiction de lever le regard, mais interdiction de baisser la tête. Et elle me gifla à toute volée, longuement, chaque joue alternativement, le bruit était explicit, le feu me montait au visage, je restais stoïque, des larmes coulant sur mes joues écarlates, je me sentais réduit à néant, nié.
Je n'avais jamais été giflé ainsi. Lorsqu'elle cessa, elle m'ordonna d'appeler mon assistante et de lui commander deux cafés. Sylvie entra très gênée, ne manquant pas de remarquer tous les détails de la scène et surtout mon visage marqué par ces gifles qu'elle avait sans doute entendu. Elle revint très vite avec les cafés et je la vis s'exprimer avec déférence auprès de ma Maîtresse, même ...
... devant elle son aura devait être perceptible. J'étais toujours debout, les mains dans le dos, n'osant lever le regard même sur Sylvie. Ma Maîtresse lui indiqua de poser les deux cafés sur la table de réunion qui était dans mon bureau et de s'y asseoir après avoir fermé la porte du bureau, un des deux cafés était pour elle.
J'étais terrifié, je n'osais bouger, cela allait trop vite, j'étais perdu mais j'étais incapable de réagir, je me sentais détruit par cette femme puissante et décidée.
« Sylvie, je voudrais me présenter que vous ne vous posiez pas de question. Je m'appelle Elisabeth et je suis la Maîtresse de votre patron. Pas que nous couchons ensemble, cela n'arrivera jamais, mais il m'obéi et m'appartiens. Pas vrai esclave?
- Si Maîtresse, répondis-je misérablement.
- Et pourquoi nous ne coucherons jamais ensemble esclave?
- Parce que je ne vous mérite pas Maîtresse?
- Oui bien sûr, mais aussi parce que tu ne peux pas physiquement.
- Non Maîtresse
- Montre à Sylvie pourquoi? Mort de honte, et terrifié par la gêne que subissait Sylvie muette, je baissais mon pantalon montrant ainsi mon sexe encagé à mon assistante médusée.
- Laisse ton pantalon baissé, cela illustre bien comme tu es ridicule et sans intérêt. Bien Sylvie je comprends que c'est un choc. Elle lui prit doucement les mains. Alors voilà il y a maintenant deux possibilités : vous avez envie que votre vie change, d'avoir un patron qui vous obéis et qui fait ce que vous voulez sous mon ...