Domestiqué
Datte: 23/03/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... de ma liberté.
16h32 : Maîtresse, puis je aller aux toilettes?
Je ne sais pas pourquoi je lui demandais cela, je crois que j'étais en manque de message de Sa part, comme si je me noyais si Elle n'était pas en contact et à la barre en permanence. Comme je l'espérais Elle répondit :
16h34 : à 17h30 uniquement et précise. Après être allé aux toilettes, tu vas voir avec la ceinture c'est fini les urinoirs et un esclave pisse différemment, je te montrerai comment, tu rentres chez toi, et tu attends mes instructions.
16h36 : Oui Maîtresse, bien Maîtresse.
17h32 : Merci Maîtresse, effectivement c'est un peu spécial, je crains d'en avoir mis un peu sur mes jambes Maîtresse. Je rentre chez moi à pied Maîtresse, je travaille juste à côté.
17h34 : Tu crois me l'apprendre larve? Je sais tout de toi. Ne l'oublie pas.
17h36 : Oui Maîtresse, je le sais et Vous avez tout pouvoir Maîtresse, je baise Vos pieds pour Vous remercier.
Plus j'étais paniqué et plus je m'enferrais, c'était atroce. Je savais que tous ces messages pouvaient se retourner contre moi mais comment faire autrement. Chaque fois Elle poussait les choses plus loin, et il m'était impossible de les refuser. Devais-je continuer les sms en arrivant chez moi? Je pensais que oui.
17h49 : Me Voilà chez moi Maîtresse, je suis nu dans ma chambre, la caméra allumée si Vous le désirez.
Ma tête tournait, j'avais perdu tout sens du temps, j'avais du mal à savoir quel jour de la semaine nous étions.
18h12 : ...
... Va mettre la clé de ta porte sous ton paillasson et remonte te mettre en position. Je te veux absolument obéissant, prévenant, interdiction de lever le regard, tu es un esclave, tu dois noter qu'en aucune circonstance tu n'as le droit de lever le regard sans une autorisation de ma part. Sauf pour le boulot.
18h14 : Voilà Maîtresse, la clé est sous la porte, je Vous attends respectueusement.
Mais je me trompais. Si la porte s'ouvrit bientôt, à la lourdeur d'un pas, je devinais qu'il s'agissait d'un homme. Je paniquais, mais me contrôlais assez pour ne pas bouger. J'étais tombé dans un piège, et je n'avais plus qu'à espérer ne pas m'en tirer avec trop de dégâts.
L'homme monta l'escalier, pénétra dans ma chambre, je vis ses chaussures vernis marrons superbes. Au moins c'était un homme de goût. Il me regarda longuement, me toucha la tête et vint se positionner devant moi. Ouvrant sa braguette je vis avec horreur qu'il sortait son sexe. Hélas je n'avais qu'une bonne idée de ce qu'il comptait faire. M'effondrant un peu plus mentalement, j'obéis à l'ordre non formulé et j'ouvris la bouche, humidifiant ma langue. Déjà son sexe moi remplissait ma bouche. Je le léchais doucement, essayant de reproduire ce que je pouvais aimer, mes mains remontant vers ses couilles. Plus ce serait rapide et moins je me sentirais ainsi souillé. Il devint rapidement dur, me pris la tête pour donner lui-même le rythme, j'étouffais à moitié, je n'arrivais plus à le lécher convenable. Ce n'était pas ...