1. La quadrature du couple


    Datte: 21/03/2024, Catégories: fhh, hbi, telnet, hsoumis, hféminisé, Transexuels Oral hdanus, hgode, hsodo, Auteur: Enzoric, Source: Revebebe

    ... savais son mari dans la chambre voisine.
    
    Au petit matin de cette première soirée chez eux je m’étais enfui tel un voleur. Non de biens, mais de plaisirs après avoir joui une troisième et dernière fois. Ensuite, durant une semaine je n’avais plus donné signe de vie. Je crevais d’envie de revoir Claire, mais j’étais paumé ; alors, comme toujours, je m’étais jeté à corps perdu dans le boulot.
    
    À ma grande surprise ce fut Érika qui reprit contact, d’un mail, sans objet ni le moindre message, ne contenant que deux PDF en pièces jointes. Seule l’adresse de l’expéditeur me fit ouvrir les fichiers. Si le premier, nommé 《À ouvrir en premier》, était déjà surprenant bien qu’il ne contenait qu’une phrase, le second l’était bien plus encore !
    
    C’était un jeudi soir, je m’en souviens comme si c’était hier. Tout comme les quatre mots qu’il m’avait envoyé :On vous attend impatiemment, ma réponse,J’arrive fut aussi laconique que l’invitation du second fichier était sans équivoque : deux bilans sanguins complets, négatifs de toutes maladies.
    
    Depuis, pardon si j’exagère quelque peu mais c’est le sentiment que j’ai, je crois que je n’ai jamais plus eu les couilles pleines ! Que ce soit dans une bouche, un sexe ou un cul, j’ai véritablement l’impression d’avoir déversé des litres de plaisir !
    
    Souvent, Claire aime toujours partager un peu d’intimité et de plaisirs en duo avec Érika. Si les premières fois je m’étais éclipsé, assez rapidement je me suis invité au spectacle. Non, invité ...
    ... n’est pas le mot puisque jamais ils ne m’ont évincé de cette inversion des rôles. Plus qu’être simple spectateur, j’ai toujours été fasciné de voir comment Érika recevait cette bite en miaulant, jusqu’à jouir sans autre besoin qu’être pris au gode ceinture. Puis, un soir, tandis qu’Érika suçait cette artificielle queue, cul relevé, une envie nouvelle germa en moi.
    
    C’était la première fois que je doigtais un homme. Mon intention n’était alors que de préparer ce cul masculin à recevoir l’amour que son épouse lui porte, mais, excité et honoré d’apprendre par Claire que jamais personne, autre qu’elle évidemment, n’avait eu ce privilège, je l’ai enculé. Passé l’étonnement, et les premiers mouvements assez hésitants, encouragé par Érika qui gémissait, et Claire qui me conseillait, j’ai vite trouvé rythme et profondeur pour le plaisir de tous.
    
    Depuis, nos ébats certes peu conventionnels ont encore évolué bien au-delà de mes espérances. Il m’aura fallu longtemps avant de comprendre qu’ils sont plus qu’un couple m’ayant offert une place dans leur lit. Si Claire avait déjà conquis mon cœur, et que, d’une certaine manière, j’avais ne serait-ce qu’un peu pénétré le sien, je me rends compte que j’ai fermé les yeux sur l’amour que me porte Érika. Je n’étais pas aveugle, mais je jouais l’autruche. Pas dupe, mais refusant de voir l’évidence, comme pour me convaincre qu’un homme, est-il plus féminin que nombre de femmes, n’est pas mon idéal, mon… attirance. Pourtant !
    
    Même si c’est ...