Les nuits d'Afrique #2 - Tanguieta
Datte: 20/03/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Lookingforvenus, Source: Hds
... un rythme d’enfer. Sa bouche est gourmande, les premières fois, j’ai même pensé qu’elle allait me bouffer la pine. Sa langue est déchainée, elle tournoie dans tous les sens, je sens parfois ses dents rayer mon pauvre membre, elle veut le gober tout entier et qu’importe qu’elle me fasse mal. Tout de même, je suis aux anges, aucune fille avant elle ne m’avait sucé avec autant d’appétit. Allongé sur le dos, elle prend toutes les initiatives et me propose maintenant de la sucer en retour en position de 69. Oubliant ma fatigue et souhaitant sortir d’une attitude passive, ma langue rentre enfin en action, elle visite cette partie de son corps qui la fait vibrer. Instinctivement, je sais où et comment la glisser. Rapidement, ma langue prend les arômes de sa jeune chatte brûlante, on prend notre pied avec ce cuni d’enfer. Un moment, elle perd le contrôle de la situation, elle jouit, elle crie de plaisir, puis me supplie, « je voudrais que tu dures toujours », ma langue redouble d’ardeur, son sexe est dilaté et trempé, elle crie encore, sans retenue pour les voisins qui se demandent sans doute si cette jeune femme d’apparence sage est la même personne qui laisse exploser son plaisir aux sues de l’immeuble. Pendant un bref instant, son plaisir est si vif qu’elle en a oublié mon sexe qui bénéficie d’un bref instant de répit, mais elle le reprend sans ménagement. Elle met sa main à son sexe, en retire un zeste de cyprine, puis se lèche la main avant de lubrifier mon sexe. C’est l’assaut ...
... final, elle est bien décidée à me faire jouir par les actions cumulées de sa langue et de ses lèvres. Je glisse un timide, « j’aime quand tu me pipes », elle n’offre aucune autre réaction que de me faire rentrer jusqu’au fond de la gorge, sa bouche a pris le contrôle total de ma bite. Elle accélère encore, elle m’aspire. Je rugis. Explosion dans sa bouche, suivie de quelques répliques. Elle attend jusqu’à mon tout dernier spasme, afin de ne pas en perdre une goutte, puis, lâche enfin mon sexe, crache en essayant de viser mon gland et m’embrasse goulument afin de me faire partager le goût de la jouissance.
Autre scène cocasse de la vie quotidienne ordinaire avec Marine, quand il me vient l’envie de me masturber. Nous habitons un 15 m2, une pièce –cuisine – douche à Paris, elle est là, entièrement concentrée à ses révisions. De mon côté, sans crier gare, mon sexe est dur. Il est urgent de me soulager. Oui, mais où ? Les seules options sont : le couloir de notre chambre de bonne (avec quelques risques tout de même) ou la douche. C’est donc presque toujours la douche ! En plein milieu de l’après-midi, je ferme la porte de la salle de bain, tire le rideau de la baignoire, fait couler l’eau et puis je commence à me branler énergiquement. Dans la pièce d’à côté, Marine n’est pas dupe, la studette n’est pas suffisamment grande pour ne pas percevoir un jet d’eau saccadé par mes mouvements de plus en plus violents, le bruit d’un sexe manipulé à grande vitesse, quelques grognements ...