1. Les nuits d'Afrique #2 - Tanguieta


    Datte: 20/03/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Lookingforvenus, Source: Hds

    Rappel de l’épisode précédent : Marine et moi, un couple de jeunes coopérants, la vingtaine, apprivoisons les bruits de la capitale du Bénin, Cotonou. La fatigue, la chaleur, l’excitation, tout concourt pour une nuit des plus démentes, où les seins trempés de Marine deviennent un terrain de jeu des plus glissants.
    
    Quelques semaines plus tard, Marine et moi habitons une habitation rustique dans le nord du Bénin, à Tanguieta.
    
    Une maison d’une seule pièce en terre battue, un toit de tôle laissant apparaître quelques fuites, une matelas double posé sur une natte, bordée par une moustiquaire, une ouverture sans fenêtre mais avec barreaux, une lampe à huile et une petite lampe torche pour s’éclairer la nuit, pas d’électricité ni d’eau courante. C’est ainsi que nous avons souhaité vivre, Marine et moi, pour essayer de partager le plus possible la vie des béninois avec lesquels nous partageons nos activités quotidiennes et nos soirées. Nous nous adaptons plutôt bien à ce mode de vie, nos hôtes restent assez impressionnés par notre capacité à nous adapter à leur quotidien en tant que blancs.
    
    Seule ombre au tableau, se laver participe de toute une entreprise. Il faut aller chercher de l’eau au puits à quelques centaines de mètres de la maison, elle sort trouble et sableuse, puis nous nous douchons séparément dans une cabine de douche en terre cuite qui nous masque jusqu’à mi-hauteur, l’endroit sent fort l’urine, nous apprenons à nous doucher avec peu de savon et un seul seau ...
    ... d’eau. Le lavage des dents est plus qu’aléatoire, il nous faut purifier cette même eau trouble avec des pastilles de chlore, mais je m’y astreins malgré tout par respect pour ma belle Marine qui fait également de son mieux pour masquer ses odeurs. Nous partageons une toute nouvelle intimité, faite de maux de ventre terrifiants, de fièvres fulgurantes et d’odeurs corporelles nouvelles que nous apprenons à aimer. Quelle aventure ! Est-ce que ces conditions spartiates ont une quelconque influence sur notre libido ? Oui…, la fatigue de journées chargées, la chaleur écrasante et de réguliers problèmes gastriques espacent nos chevauchements.
    
    Marine est habituellement une femme qui n’a pas peur de prendre des initiatives, afin de satisfaire ses besoins, quasi-quotidiens. Si je tombe de fatigue, elle ne l’entend que rarement ainsi et prend les choses en main. Elle stimule mon sexe d’une main experte et décidée, et même parfois, d’une caresse buccale, et dès qu’elle m’a réanimé, vient s’empaler sur ma bite durcie, avec une forte détermination. Quand son envie est irrépressible, elle ne s’embarrasse pas de préliminaires, seule compte ma bite et son plaisir, il faut que ma bite soit dure et folle, que je sois fort et endurant, qu’elle prenne son pied jusqu’à son premier orgasme. C’est seulement après qu’elle ait atteint la sensation de jouissance, qu’elle se montre enfin généreuse et à l’écoute de mes envies. Eduquée comme moi au porno hard, elle enchaîne souvent sur une pipe menée à ...
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