-
Le Pt'io
Datte: 13/03/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byANDRERP95, Source: Literotica
... Sans se concerter. C'est toujours comme cela. Inexplicable. - Vous êtes en train de téter ou tu la fourres? - Les deux mon pote les deux. Mais elle en redemande. - De quoi? - Des deux mon frère. Des deux. Et toi? T'en es ou avec le morveux? - Il m'a taillé une pipe et il est en train de me remettre en forme. J'ai son petit cul sur ma bitte. - T'es en train de le tringler? - Non. Ça, c'est pour tout à l'heure. Pour le moment, il a juste le slip sale et mouillé. - Garde le au chaud alors. - Pourquoi? - Avec Néneh, on s'est dit que tu pourrais nous rejoindre. Elle a envie de te voir, et on pourrait s'amuser ensemble. Ça te dit? - Pas de problème. Je peux même venir avec lui - Pourquoi pas. Attend mec j'explique à la meuf J'attends en regardant le môme. Il est debout de dos avec le fond du slip taché et humide. Je lui dis de se rhabiller. Il veut enlever son slip. Je lui dis de le garder. C'est excitant. Il se rhabille pendant que je finis avec Farid. - Pas de problème mec. La meuf est encore plus excitée. Elle ne demande que cela. Je lui ai dit que le môme était vachement appétissant. Je suis sûr qu'il va lui plaire. - OK on vient. - On vous attend. A tout de suite. Je coupe. On se rajuste et nous quittons ma piaule. Mon pote n'habite pas loin. À cinq bonnes minutes de marche. En plein cœur de la zone où il n'y a plus, depuis belle lurette, aucune force de l'ordre. Personne n'ose entrer dans ce quartier à part les ...
... habitués. Malgré le temps menaçant, j'ai décidé d'y aller à pieds. Je dis au gamin ou on va. Le petiot veut partir. Je lui dis de la fermer et de me suivre. Je sais parfaitement que personne ne l'attend avant le milieu de la nuit. Il baisse la tête comme à son habitude et me suit. Il a du mal à marcher aussi vite que moi. oooOOooo Nous entrons dans la citée. Autre monde. Murs tagués, débris de voitures désossées, dépotoir de détritus divers, mômes qui jouent dans la rue. Cris et odeurs d'ailleurs. Tous nous regardent méchamment. Je les connais, et eux, me reconnaissent aussi. A partir de ce moment, plus personne ne nous emmerdent. Certains d'entre eux me lancent des cris de joies dans un incroyable mélange de langues. Nous entrons dans l'immeuble délabré. L'ascenseur est en panne, comme d'habitude. Nous montons les huit étages à pieds. Le môme souffle comme un phoque alors que c'est une promenade de santé pour moi vu mes entraînements. Des bruit de musiques et des cris a chaque palier. Vies et odeurs du monde. Des mondes disparates cloîtrés dans ce quartier, pour l'abri des nantis et des gens de biens. Ghettos et promiscuités. Débandade de l'ordre civil et moral. Nous arrivons au huitième. Je frappe à la porte. Farid nous ouvre tout de suite. Il est torse et pieds nus. Odeurs de tabac, de hasch et d'autres choses. Je pousse le petit vers lui. Il le réceptionne. - Salut les mecs. Entrez - Salut mec Nous entrons. Le couloir est sombre. Nous débouchons sur l'unique pièce. Un ...