« Josy » La reine de la nuit. Épisode 2 : Salope, elle le devient très vite.
Datte: 13/03/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... le souvenir de sa langue jouant avec mon petit bouton au rythme de mes gémissements jusqu'à ce que je parvienne à jouir. J’avais très envie de lui rendre la pareille, mon appréhension avait totalement disparue, j’étais sereine et en confiance. Je lui dis de but en blanc en le tutoyant : « Veux-tu que je te suce Jean- Charles ? Je ne suis qu’une novice, mais j’apprends vite. » Toujours allongée sur la table d'examen, je vis alors dans son regard son étonnement, ce qui ne l’avait pas empêché de s’approcher sur le côté et sortir son sexe en érection pour le présenter devant mon visage.
Il avait lui aussi une belle queue, elle était noueuse et bien large, son gland luisant était une invitation à la fellation. Je sus à partir de ce jour que j’aimais particulièrement faire des pipes, cela m’excitait beaucoup. Après avoir tourné ma langue sur le pourtour de cette tête décalottée que je titillais avec une grande application, j’entourai mes lèvres autour de sa verge pour le sucer doucement et en salivant abondamment. J’intensifiai mes va-et-vient tout en restant attentive aux réactions de mon docteur qui semblait apprécier ma bouche : — En effet, tu apprends vite, tu seras bientôt une experte.
Ayant la bouche pleine, je ne répondis pas mais j’avais apprécié le compliment. Je dois dire que ça m'excitait énormément, je désirais devenir meilleure que ma mère. J’enfournai sa queue plus profondément jusqu'à ce que je la sente cogner au fond de ma gorge. L’entrainement avec mes ...
... bananes portait ses fruits (LOL), néanmoins, Jean- Charles étant au bord du précipice, me stoppa dans mon élan : « Tu es une vraie petite salope Josiane, arrête sinon je vais gicler dans ta bouche. »— Tu sais, j’aime ça, tu peux éjaculer dedans.
— Une autre fois, je n’ai pas le temps aujourd’hui, j'ai trop envie de ton petit trou.
Il voulait m’enculer aussi le salopard mais cela ne me dérangeait pas. Il me fit descendre et me retourna pour me plaquer face à la table. Il me claqua le cul avec sa queue, cracha sur ma rondelle en écartant les fesses puis appuya son gland mouillé de salive sur ma petite rondelle. Il appuya et s’insinua doucement dans mon anus qui se dilatait au fur et à mesure de la pénétration. Il fit lentement quelques allers-retours, avant d’aller de plus en plus profond. Lorsqu’il vit que mon passage était bien huilé, il commença à me sodomiser sauvagement. Il me maintenait une main sur ma bouche afin d’atténuer mes gémissements et mes petits cris, tandis que l’autre il me tenait fermement par la hanche.
C’était trop bon, j’avais envie d’hurler, tellement sa bite bien dure me taraudait les entrailles, je ne ressentais aucune brûlure, mon petit trou était bien serré autour de sa queue, il me remplissait. Comme le docteur André me l’avait appris, je réussis à passer une main jusqu’à mon pubis et je me doigtais pendant que Jean- Charles, mon jeune médecin, m’enculait. Je sentais ma mouille dégouliner le long de mes cuisses. Après de longues minutes à ce ...